1. Cette si merveilleuse femme (1)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... amoureusement.
    
    Quelques jours passent sans nouvelle de l’artiste. Sur le journal local, un article parle justement de cette jeune femme. Je me permets de faire quelques rapprochements entre le physique de maman et de cette demoiselle, déjà par leur chevelure très longue, ensuite, par leurs courbes appétissantes. Maman, un peu agacée par mes propos, se fait jalouse. C’est la première fois que je la sens aussi perturbée par mon discours comparatif. Aussi, je l’entraîne dans la pièce du premier, retire sa robe de chambre et la mets au pilori. Une bonne petite fessée plus tard, je la délaisse avec ces pinces à grelots sur ses mamelons, un gode dans son anus et un vibromasseur dans son sexe. Le tout, bien ficelé à ses hanches divines. Je me pose devant elle, assis en tailleur, et relis l’article plusieurs fois à voix haute quand le téléphone sonne:
    
    — Bonjour, Aline Borloz, la peintre. Vous vous souvenez ?
    
    — Oui, et comment, comment allez-vous ?
    
    — Bien, je vous remercie, je ne suis pas très loin de chez vous, avec la toile. Je peux passer ?
    
    — Mais et comment, nous vous attendons.
    
    — Heu, j’ai juste une question...
    
    — Vous nous la poserez une fois chez nous, d’accord ?
    
    — Entendu, à tout de suite.
    
    Je suis remonté prestement auprès de maman. Elle est en train de jouir quand je pénètre dans la pièce, son hurlement est sans équivoque, elle aime. Devant elle, je lui dis que je vais recevoir l’artiste, la draguer ouvertement. Et si ma mère se fait encore ...
    ... jalouse, je lui promets une cinglante fessée et une sodomie d’enfer. Cela dit, je ne peux m’empêcher de caresser son doux visage, ses seins, faisant tinter les grelots au passage. La voilà qui jouit encore, merveilleuse femme, fantastique mère que j’ai. Je t’aime maman !
    
    En bas, je m’habille tranquillement. À peine ma chemise à moitié boutonnée que la sonnette du portail se fait entendre. Je sors sur le pas de porte, appuie sur le petit interrupteur qui déverrouille le portail. Quand elle sort de sa voiture, je découvre une jeune femme très fraîche, très été, très belle. Sa longue chevelure flotte au vent et ses caprices. Elle peine à le maintenir en place, sa toile dans la main. Elle s’étonne, une fois à l’intérieur, de me savoir seul. Je ne dis rien de maman, sauf qu’elle est sortie faire une course. Je lui propose une boisson, elle me demande un thé que je m’empresse de lui préparer.
    
    Sur la terrasse, derrière la maison, sa toile dans ses mains, elle peut comparer sa peinture et la réalité. Il n’y a pas de grandes différences, presque aucune pour ainsi dire. Si, une est bien visible, la couleur du rebord de la piscine, bleue sur le tableau, béton lissé dans la réalité. Alors s’en suit une longue conversation, confortablement installée sur notre terrasse. Quand elle m’apprend que la plupart du temps qu’elle peint ses rêves, je lui demande quel était son songe pour peindre notre maison et là, je déguste une savoureuse histoire.
    
    — Disons que... Non, je vais vous dire la ...