1. Encore des photos


    Datte: 10/03/2019, Catégories: fh, frousses, uniforme, fdomine, hdomine, photofilm, préservati, attache, yeuxbandés, amourdura, Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe

    ... m’engouffrer. Mais ça ne dure pas longtemps. Le matelas bouge autour de moi. Elle s’assied à califourchon sur mes cuisses et ne bouge quasi pas. Je ne sais pas ce qu’elle fabrique jusqu’à ce que je sente un préservatif qui se déroule sur mon pieu. Elle me branle un peu. Ensuite, lentement, très lentement, elle s’empale. Jusqu’à la garde. Ne rien voir et ne rien entendre décuple les sensations. C’est très… surprenant. Catherine monte et descend doucement. De temps en temps, elle s’arrête et je sens les muscles de son vagin se contracter autour de moi.
    
    Waouw. J’en gémis. Parfois, elle accélère le mouvement, mais revient rapidement à une lente cadence. De temps en temps, elle fait des mouvements du bassin. Ça aussi, c’est « waouw ». Je ne sais pas combien de temps dure ce supplice. J’ai parfois l’impression de perdre connaissance. Je pense qu’elle sait à quel moment je vais jouir car, à trois reprises, elle s’arrête net, sort mon sexe de son fourreau et ne bouge plus.
    
    Maintenant, je sens son visage près du mien, elle retire le bouchon de mon oreille et me chuchote :
    
    — Là. Chuuuuuut. Calme-toi.
    
    Elle me caresse en même temps la figure. Rebouche mon oreille. Passe ses doigts le long de mon cou. Ensuite, elle se repositionne, s’enfile mon pieu à nouveau. Trop de sollicitations sexuelles. J’explose dans un violent et surprenant orgasme. Je ne peux pas m’empêcher de lui attraper le bassin pour qu’elle arrête de bouger. Ce faisant, je sens son vagin se contracter ...
    ... fortement. Elle s’affale sur moi, et je l’étreins. C’était un moment rare de complicité complète, que je n’ai jamais connu auparavant.
    
    Nous sommes lovés l’un contre l’autre. J’ai un sentiment de plénitude un peu benêt…
    
    — Putain que c’était bon, ne puis-je m’empêcher de dire.
    — Je trouve aussi.
    — Tu as joui ?
    — En même temps que toi. Ça ne m’est presque jamais arrivé.
    — C’était… très… intense.
    
    Je sombre dans une espèce de doux coma.
    
    Je me réveille. Une envie pressante. Je me lève sans faire de bruit. Je ne regarde jamais l’heure durant la nuit. Mais j’essaie tout de même de deviner… Je n’entends presque rien. Même les oiseaux se taisent. On doit être au milieu de la nuit. Je me recouche près de Catherine. Et je gamberge un peu. Cette fille, c’est « LE » truc qui manquait dans la vie. Je sens le début d’une histoire. Et j’espère que c’est réciproque. Je vais essayer de la questionner pendant le petit déjeuner demain matin. Je me mets sur le côté et j’arrive à me rendormir. Plein de confiance en l’avenir.
    
    —o–o—
    
    Je me suis levé avant elle. Je prépare le petit déjeuner. Tout à coup, Catherine débarque telle une furie.
    
    — Putain de merde, j’suis à la bourre.
    
    Elle me plaque un baiser sur la bouche, presque violemment.
    
    — J’t’appelle plus tard.
    
    « Clac ». La porte vibre encore quelques secondes, j’en reste bouche bée. Je suis scotché par la rapidité de l’action. Décidément, elle me plaît de plus en plus, cette femme pleine de fougue.
    
    —o–o—
    
    J’ai invité ...