Moins par moins donne plus (suite)
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couple,
couplus,
vacances,
danser,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... fassions l’amour. Je ne sais d’où me vient cette envie, mais elle me taraude depuis un certain temps.
— Oui, mon chéri, je suis ta cochonne.
Voilà, c’est dit, j’ai osé. Je me sens libérée. Je continue :
— Tu me fais du bien. Traite-moi comme le mérite une cochonne, une salope, je suis ta p…
Mais le mot n’arrive pas à passer mes lèvres.
— Ma putain, oui. Ton petit cul est à moi. Attends, je vais te…
Mais Pierre a présumé de sa résistance. Il faut dire que mon cul est autrement plus étroit que mon vagin. Chaque muscle étouffe sa bite. Il jouit. Il jouit bien calé tout au fond de mes entrailles. Son foutre m’inonde. Je le sens jaillir et me lessiver. Son éjaculation participe à mes caresses. Moi aussi je jouis. Jouissance un peu trop maîtrisée. Voilà ce que c’est de vouloir être perverse et manipulatrice. Après notre sieste, tout le monde s’est remis au travail et moi j’ai rangé les cartons qui traînaient.
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Si un événement extraordinaire ne s’était produit alors que je rangeais les quelques cartons qui restaient, nous aurions certainement « mis un mouchoir » sur cette nuit particulière. Chacun en aurait gardé un souvenir au niveau du fantasme et du plaisir qu’il avait pris. Je n’aurais rien dit à personne.
Mais le destin m’a fait retrouver ce colis qui était arrivé bien après le 14 juillet et que nous avions commandé justement pour que les enfants en profitent lors de la parade nocturne. Je l’avais oublié.
Pourtant ce paquet en lui-même ...
... n’est rien. C’est que soudain, fort de l’expérience de la nuit précédente, j’ai fait la liaison avec un récit lu et apprécié sur un site d’histoires érotiques. Et mon imagination a fait le reste.
— Vous avez remarqué, c’est une nuit sans lune. Comme hier…
Le crachin s’est arrêté. Le vent a balayé les nuages. Il fait humide, mais tiède. Nous sommes tous les quatre confortablement installés sur la terrasse après un dîner si frugal que les deux verres de rosé me font de l’effet. Mais je n’ai pas besoin de dopage, car ma décision est prise. Je reprends.
— Si on éteignait les lampes, on se retrouverait dans le noir, si ce n’étaient les étoiles.
Roxane comprend que je fais allusion à cette nuit.
— C’est vrai. Tout devient mystérieux dans le noir. Les choses les plus simples deviennent des objets inconnus.
— Cela me fait penser à une histoire que je viens de lire dans Psy Magazine.
— Chérie, épargne-nous les analyses pour ménagères.(C’est Pierre qui me charrie).
— Tant pis pour vous. Il y avait une forte connotation érotique.
— Laisse Peggy nous raconter.(C’est Ruis).
— D’accord. Allez, vas-y chérie. Fais-nous rêver.
— La journaliste parle de deux couples d’amis. Des amis de longue date. Je passe les détails, mais un soir, le soleil, la liberté retrouvée, l’alcool font que les deux hommes décident de changer de chambre pour rejoindre la femme de l’autre.
— C’est bien une histoire de psy. Les femmes ne sont pas aveugles ! dit Ruis, pas si à l’aise que cela.
— ...