Moins par moins donne plus (suite)
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
couple,
couplus,
vacances,
danser,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
69,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... lui. Moi aussi je le suce, je le lèche, je le prends dans ma bouche, je caresse ses bourses. Il est de plus en plus gros, dur, la grosse veine semble vouloir exploser. Pour un peu j’aurais envie de répéter ce qu’il m’a fait cette nuit, faire jaillir sa semence dans ma gorge.
Il ne faut pas, cela pourrait faire naître des soupçons et en aucun cas je ne veux qu’il sache. On verra plus tard. J’ai déjà dans l’idée de lui présenter cette pratique comme un cadeau, pour notre anniversaire de mariage, dans deux mois.
Mais j’ai un plan. Je me lève et m’installe à quatre pattes sur le bord du lit. Pas besoin de lui faire un dessin. Il m’embroche avec envie. Je gémis sous sa poussée.
— C’est bon, dis-je d’un souffle.
Il s’active. Je le sais bien excité par nos préliminaires et pour se retenir il me bourre lentement. Par moment, il sort sa queue totalement pour la remplacer par deux doigts qu’il crochète dans mon vagin. Je sais qu’il utilise ce moment pour calmer sa tension.
Il revient. C’est vraiment bon. Il accélère.
— Finis comme cette nuit. S’il te plaît, chéri, c’était si bon.
Je ne le vois pas, mais je devine sa perplexité. Pour ne pas l’obliger à avouer son ignorance, je me saisis de son mandrin et le place contre ma rondelle. Il comprend et ne peut s’empêcher de dire :
— Mais d’habitude, tu n’aimes pas trop que…
— Cette nuit, tu ne m’as pas demandé mon avis et tu avais raison, allez chéri, viens.
C’est vrai que sans la refuser totalement, je ne suis ...
... pas une fana de la sodomie. C’est exceptionnellement que son pieu me troue la rondelle. Mais le défi est aussi pour lui. Ainsi Ruis, cette nuit, a enculé sa femme sans même lui demander son avis. Et elle a trouvé cela bien, alors qu’avec lui elle fait sa « chochotte ».
Il pousse. Je sens parfaitement son gland forcer le passage. Il hésite.
— Allez chéri comme cette nuit. J’ai aimé ta rudesse. C’était si inhabituel.
(i>Tu vas voir, ma cochonne de femme, doit-il penser, alors qu’il avance d’une poussée régulière).
Il m’a embrochée. Mes entrailles sont pleines de son bâton. Mais il ne s’arrête pas là. Il bouge, bouge. Moi je glisse ma main vers mon bouton pour me caresser. Mon homme m’encule. Il n’y va pas par quatre chemins. Je dois appuyer ma tête sur le lit pour me retenir. C’est spécial. Ce n’est pas si désagréable. Les autres fois, il était trop lent, trop technique, manifestement inquiet de ne pas me blesser.
Il m’encule. Il imagine que Ruis a fait pareil cette nuit ! Jalousie ? Excitation ? Syndrome du mari candauliste qui s’ignore ? Sûrement un peu de tout, mais en tout cas cela lui donne une vigueur, dont j’ai parlé pour le faire « réfléchir » un peu. Et finalement, c’est bon. Très bon. Son piston glisse bien plus facilement maintenant. Je dois être ouverte.
— Cochonne.
Oh que j’aime ce mot. Je n’ai jamais osé en parler à Pierre, je sais, c’est ridicule, mais un de mes fantasmes est qu’il me parle avec des mots crus pendant et même avant que nous ...