1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... peut aussi voir ton cul?
    
    Il avait déjà utilisé le tutoiement alors qu'habituellement on se vouvoyait. Je descendis immédiatement de mon perchoir pour me cacher contre le mur mais il poursuivit ses demandes à voix bien trop haute dans la rue calme :
    
    - Eh... je répète... voisine... fais voir ton cul... tout de suite!
    
    De peur qu'il n'attirât trop l'attention, je me décidai à obéir. Remontant sur mon tabouret, je lui présentai mon arrière-train. Je ne le vis donc pas traverser le parterre en vitesse. C'est sa main entre mes fesses qui me fit sursauter et pousser un cri.
    
    - T'as un sacré cul ma voisine... putain... doit pas se faire chier ton mec... t'encule souvent?
    
    Il se mit à pétrir mes fesses sans ménagement, il les écarta, il enfonça brusquement un doigt dans mon anus, probablement son majeur. Il se mit à l'activer ce qui fut douloureux car l'endroit n'y était pas préparé. Son autre main vint par devant tripoter ma touffe et un doigt pénétra mon vagin. Deux mains s'activèrent de concert. Je le priai de cesser, de rentrer et fermer la porte, mais il s'en moquait bien. Il poursuivit un moment et brusquement se retira.
    
    - Je n'ai pas trop de temps maintenant, mais tu ne perds rien pour attendre. Vais bientôt te défoncer le trou du cul. A bientôt grosse pute.
    
    Je ne pus d'acquiescer, pauvre de moi. Je terminai la matinée dans la tenue requise mais cachée au mieux des passants de la rue.
    
    JOUR 11 -- LUNDI - Le jardinier
    
    A 13h30 on sonna à la porte. Je ...
    ... n'attendais personne et c'est, déjà inquiète, que j'allai ouvrir. Devant moi apparut le grand Ralf, le timide que j'avais dû servir honteusement vêtue de mon tablier rose. Il souriait bêtement découvrant son appareil dentaire.
    
    - 'jour... viens voir Théo...il est là?
    
    - Non, il est parti au sport, au foot.
    
    - Pas grave, dit-il, je dois récupérer des cours. Je vais les chercher dans sa chambre.
    
    Il n'attendit pas mon accord pour entrer, traversa le séjour pour atteindre l'escalier qui conduisait aux chambres. Je n'osai pas le suivre, inutile de provoquer sa libido. Je n'avais pas oublié les privilèges exorbitants accordés à Ralf par mon maudit beau-fils Théo, privilèges ainsi énoncés : «
    
    Désormais ton nom est LaBoniche. Si quelqu'un t'appelle LaBoniche, tu lui obéis immédiatement
    
    »
    
    Une demi-heure plus tard, alors qu'il était toujours à l'étage, que mon angoisse ne cessait de croître, on sonna une nouvelle fois. Le jardinier, monsieur MERCIER, arrivait à 14h comme chaque lundi.
    
    - Bonjour Madame Françoise, vous allez bien? J'ai une grosse demi-journée de boulot parce que dois faire la terrasse, la désherber.
    
    - Oui, je sais, mon mari m'a prévenue. Allez vous assoir, je prépare le café.
    
    L'usage voulait que nous prenions toujours un café avant qu'il ne commençât son travail, il s'asseyait à la table de salle à manger. La présence de Ralf m'intriguait, m'inquiétait. MERCIER s'aperçut de mon trouble, je tremblais un peu quand je ramenai le café :
    
    - Ca ne va pas ...
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