Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica
... Madame Françoise? Vous avez des soucis?
J'avais grande envie de lui parler de l'horrible chantage que je subissais, lui demander de l'aide, crier au secours. Mais je devais m'abstenir au risque de bien pire de la part de mes tourmenteurs.
- Non, non, tout va bien, merci... je suis...
- LABONICHE!!!
L'injonction hurlée arriva brutalement depuis le haut des escaliers. Je poussai un cri de surprise, restai clouée à ma chaise, mon regard planté dans celui du jardinier.
- LABONICHE, AUX PIEDS!
L'ordre réitéré me sortit de ma léthargie.
- Excusez-moi, monsieur MERCIER, je... je dois... Allez donc commencer le jardin, s'il vous plaît. Tout de suite.
Il n'osa ni s'opposer ni interroger. Je n'attendis pas qu'il quitte la pièce pour monter voir Ralf de crainte que le garçon renouvelle son injonction éhontée.
- Que... que veux-tu Ralf ... Tu ne dois pas quand quelqu'un est là, tu ne dois pas me parler comme ça!
- D'où t'as vu ça, LaBoniche? Obéir qu'il a dit Théo! Tu sais ce que ça veut dire? Tu veux que je lui en parle, que je lui demande?
- Non, non, s'il te plaît, ne lui en parle pas... c'est d'accord, tu as raison... je vais t'obéir. Excuse-moi.
- Ouais, c'est bon pour cette fois. A partir de maintenant, je suis « maître Ralf». Tout le temps, partout. Et vouvoiement de rigueur. Compris?
- Oui... oui Maître Ralf, répondis-je difficilement.
- Descendons, ordonna-t-il.
A mon grand soulagement, il dédaigna la salle à manger pour aller dans ...
... le bureau contigu. Il prit la place présidentielle au grand secrétaire en merisier assorti de nombreux tiroirs. Il ordonna que je lui serve un café mais comme je lui avais répondu d'un simple « oui », il me reprit méchamment pour exiger un « oui maître Ralf».
Je revins avec la cafetière et, alors que je remplissais sa tasse, il profita de ma position à son côté pour dénouer la ceinture de mon pantalon. Ce matin-là, je portai un pantalon de toile beige, léger, fermé par une ample et jolie boucle en cordelette jaune que mon petit pull ne couvrait pas. Il lui suffit de tirer dessus pour qu'elle se dénouât. Par chance, le pantalon resta sur mes hanches bien que sa fermeture-éclair se fût à moitié ouverte toute seule. Ensuite, comme l'avait fait mon beau-fils Théo, avec son majeur pointé, il me fit signe de rester devant lui à deux mètres, au garde-à-vous, pendant qu'il sirotait son café.
Nous entendîmes frapper à la porte-double du séjour. Nos regards se croisèrent.
- Va voir, ordonna-t-il mais ne touche pas à ton froc!
Dans le séjour, je trouvai MERCIER entré avec ses chaussures crottées et enherbées. Je vis son regard descendre jusqu'à la ceinture de mon pantalon dont l'ouverture laissait voir le haut de ma culotte rouge. Je lui donnai rapidement l'insecticide dont il avait besoin, sans tenter de resserrer la ceinture. Il fit un signe de menton vers la porte du bureau :
- Merci pour le produit, dit-il, mais... Madame Françoise, qui est ce garçon?
Je me tournai ...