1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... escarpins noirs de 12cm, prise au dépourvu, incapable de réagir.
    
    Philippe faillit avoir un malaise, s'arrêta net devant le tableau, gueula :
    
    - Mais qu'est-ce que tu fous encore à poil! Mardi, tu te présentes dans une tenue dégradante et ce jeudi matin, tu es nue! Avec des souliers! Mais tu es malade, ma pauvre.
    
    Théo choisit ce moment précis pour arriver derrière son père. Mes seins relativement lourds et ma chatte chaudement garnie de poils noirs se présentaient à lui.
    
    - Quelle pute, dit le garçon!
    
    Son pantalon était déformé, je le vis en baissant la tête. Je ne sus rien dire d'autre que « pardon » et je me sauvai en larmes dans ma chambre.
    
    Je n'osai plus descendre affronter le regard de Philippe. J'étais en rage contre son fils mais il était impossible d'expliquer la situation au père. Jamais il ne m'aurait crue. Je ne sais pas ce qu'ils se dirent ce matin-là. C'est seulement lorsque j'entendis la voiture partir que j'osai revenir en cuisine. Je ne déjeunai pas. Pas faim. Je pensais au repas du soir, qu'allait-il encore se passer?
    
    Le second choc de la journée m'éclata au visage devant le miroir de la salle de bain où une feuille était scotchée.
    
    COMPLETEMENT A POIL TOUTE LA MATINEE
    
    SEULS VETEMENTS OBLIGATOIRES : ESCARPINS
    
    PORTE GRANDE OUVERTE SI QUELQU'UN SONNE
    
    RIDEAUX SUR RUE ET JARDIN OUVERTS
    
    VITRES A FAIRE COTE RUE
    
    PENSE A CE SOIR - PENSE A DEMAIN 18H - PENSE AUX CLODOS
    
    L'écrit était dactylographié. Impossible de le conserver ...
    ... comme preuve de la perversité de Théo. Il avait prit soin d'ajouter les risques en cas de refus d'obtempérer. Je devais passer cette maudite matinée complètement nue.
    
    Je commençai par ma toilette matinale en soignant mon maquillage comme s'il constituait une protection. Je me chaussai des 12cm. Je rangeai tous mes vêtements dans la chambre pour ne pas être tentée de m'en couvrir. Enfin, au rez-de-chaussée, j'ouvris tous les volets et tous les rideaux. J'évitai d'allumer, même si le séjour était encore dans l'obscurité.
    
    Je n'avais pas de temps à perdre, je devais laver toutes les vitres, intérieur et extérieur. Je commençai par les fenêtres sur rue, opposées aux baies vitrées qui donnaient sur le jardin ; je les ouvris en grand pour laver les deux côtés. Bien qu'il fût encore tôt, quelques passants du quartier survinrent sur le trottoir à cinq mètres devant moi. Cinq fois de suite, je réussis à me cacher. Mais pas la sixième!
    
    Mon voisin avait pris le chemin inverse des autres : il rentrait chez lui au lieu d'en partir! Comme je surveillai plus particulièrement les arrivées à ma droite, je le vis trop tard à ma gauche et en plus, j'étais montée sur un petit tabouret pour laver le haut des vitres. Il eut tout loisir de mater mes gros seins et ma touffe noire. On ne côtoyait pas ce voisin, trop vulgaire pour les prétentions de mon mari. C'est à peine si on lui disait bonjour, l'ignorant de notre superbe bourgeoisie.
    
    Du bout de l'allée, il cria :
    
    - Eh, ma voisine... on ...
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