1. Soumise à Mon Beau-Fils Ch. 02-03


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bychdecrivain, Source: Literotica

    ... fournisseurs? Vous pouvez les contacter?
    
    - Ouais, je peux essayer, faites un tour dans le magasin pendant ce temps là.
    
    Je passai quelques minutes à regarder le déballage d'objets sexuels de toutes sortes, de revues de toutes sortes.
    
    - Ecoutez, dit-il, je peux en avoir une auprès d'un fournisseur. Je viens de l'appeler, il en a de disponibles. C'est 120 euros. Je vous montre sur son catalogue.
    
    - Inutile, d'accord, ça me convient. Mais vous la recevrez quand?
    
    - Normalement, mardi fin de matinée.
    
    - Pas avant, m'exclamai-je, mais c'est trop long pour moi. Vous ne pouvez rien faire?
    
    Je devais me présenter le lendemain, le lundi à 12h!
    
    - Pas le choix, ma petite dame, mardi ou jamais.
    
    Le repas du soir se déroula normalement. J'avais les plus grandes craintes que Théo ne m'obligeât encore au tablier mais il n'en fit rien. Je passais une nuit réparatrice, un peu moins tourmentée que ces derniers jours.
    
    JOUR 8 -- JEUDI - Complètement nue
    
    Ce jeudi matin, comme chaque jour, je me levai la première à 6h45, préparai le petit-déjeuner pour le pour le servir aux hommes à 7h15. Par réflexe, je consultai mes messages et je reçu alors le premier choc de la journée dans un message de Théo :
    
    Tu prépares et sers le petit-déjeuner avec tes escarpins noirs et une serviette de bain.
    
    Une phrase, une seule phrase assassine et j'étais à nouveau plongée dans l'enfer de la honte et de la crainte. Comment pourrai-je expliquer ma tenue à Philippe? Je n'hésitai ...
    ... pourtant pas sachant les risques de la désobéissance. Je laissai ma chemise de nuit à la salle de bain, me mouillai mes cheveux pour faire vraiment « sortie de bain », me couvrit d'une grande serviette. Ma tenue était plausible mais elle le devint nettement moins lorsque je chaussai mes escarpins. Ils étaient noirs, élégants, élancés voire pointus, hauts de 12cm. Théo avait un don pour la perfidie car les souliers suffisaient pour tuer l'aspect normal de ma tenue.
    
    Je l'entendis descendre le premier. Je suppose qu'il voulait vérifier ma soumission. - Oh putain, ma belle-doche, tu m'fais bander comme ça. Super tes pompes. Complètement anachroniques avec la serviette et avec l'heure. T'as pas de culotte en dessous de ta serviette? Je ne t'y ai pas autorisée.
    
    - Non Théo, mais s'il te plaît, ne fais pas ça à ton père, il va être choqué. Tu l'aimes ton père, n'est-ce pas?
    
    - Justement, j'veux qu'il se rende compte que t'es qu'une pute qui a pris la place de ma mère, une pute qui veut prendre son pognon. Et puis ta gueule, fais ce que l'on te dit sinon gare aux bites des clodos!
    
    Il buvait son café lorsque nous entendîmes les pas de son père dans l'escalier. Il faut penser que, lui comme moi, attendions sa venue, lui avec plaisir, moi avec angoisse. Comme je lui tournai le dos, je ne vis pas Théo se lever, s'approcher de moi et en un geste retirer la serviette de bain puis se sauver aux toilettes en l'emportant. Dans la cuisine, je me retrouvai seule, complètement nue, en ...
«12...678...13»