1. J'ai découvert la soumission


    Datte: 08/03/2019, Catégories: ff, fsoumise, sm, fouetfesse, Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe

    ... clito ! Puis, je perçois, de plus en plus nettement, sa langue s’attarder du côté de ma rondelle. Je ne peux m’empêcher de remuer du cul. Sublime ! Elle m’y enfonce, lubrique, un doigt. Je gémis, déjà proche d’un nouvel orgasme. C’est bien la première fois que je prends du plaisir par cette voie. Cette femme est diabolique.
    
    Et là, je n’en peux plus. J’explose. Un long râle sort de mes entrailles.
    
    Je reprends vie (après une éternité). Peu à peu, l’agitation s’estompe.
    
    Elle me regarde, amusée.
    
    — Hé bien… tu es toujours aussi réceptive ?
    — Disons que ça fait longtemps que je n’ai plus été excitée comme ça. Et que tu me fais beaucoup d’effets.
    
    Nous sommes maintenant couchées, côte à côte, quasi nues. Je ne sais pas quoi dire. Perdue dans mes pensées, je la sens me caresser.
    
    — Je peux te demander quelque chose ? me demande-t-elle.
    — Oui, bien sûr !
    — J’ai pris de la crème apaisante… Pourrais-tu m’en mettre sur les fesses ?
    — Ho !
    
    Je suis un peu embêtée de lui avoir fait mal.
    
    — Dans mon sac, il y a un tube jaune.
    
    Je vais chercher son sac, le ramène dans la chambre. Elle en a profité pour se déshabiller complètement. Je lui tends son sac (je n’aime pas fouiller dans les affaires des autres).
    
    — Vas-y, prends-le, me pousse-t-elle.
    
    J’ouvre sa… sacoche. C’est un truc informe, qui pourrait contenir bien des choses. Et il y en a du brol là-dedans.
    
    — C’est dans une trousse en toile rose.
    
    Ha ! la voilà.
    
    — Déballe tout sur le lit, ce sera plus ...
    ... facile.
    
    Je retourne le contenu et qu’elle n’est pas ma surprise en découvrant un phallus d’une belle taille fixé à des sangles, deux espèces de boules reliées pas une cordelette, un tube de gel lubrifiant, la fameuse pommade et un œuf avec une petite télécommande. Elle rit en voyant ma tête en forme de point d’interrogation.
    
    — Ce sont mes petits artifices sexuels.
    — C’est quoi, « ça » ? fais-je en montrant les boules.
    — Tu ne connais pas les boules de geishas ?
    — Ha ? C’est ça ? Je n’en avais jamais vu.
    — Je m’en sers de temps en temps, au bureau notamment.
    — Tu rigoles ?
    
    Je suis éberluée.
    
    — Oui, c’est génial. Pas toute la journée, hein ! Je les insère vers dix-sept heures et, le soir… chez moi… Je suis très excitée et il ne me faut que quelques minutes de masturbation pour être libérée. Que du bonheur. Le plus drôle, entre guillemets, c’est d’avoir ça en toi et que personne ne s’en doute. Discuter avec un collègue, par exemple, est assez comique.
    — Tu es perverse, lui dis-je.
    — Mmmmmm, oui, un peu. Occupe-toi de mes fesses, maintenant.
    
    Je prends le tube tandis qu’elle se couche sur le ventre. Et je découvre les dégâts que j’ai faits. Je dépose une noisette de pommade sur chaque globe rougi et commence un léger massage. Délicatement, ça doit faire mal. Je l’entends d’ailleurs qui gémit.
    
    — C’est douloureux ?
    — Non, me répond-elle, c’est trop bon ! Continue…
    
    Mes mains, mes doigts s’approchent de plus en plus de son petit trou. J’écarte aussi de temps ...