1. J'ai découvert la soumission


    Datte: 08/03/2019, Catégories: ff, fsoumise, sm, fouetfesse, Auteur: Petit bouquet, Source: Revebebe

    ... furieusement affolant d’embrasser une femme. Suave, soyeux, lascif. Je suis transportée. J’arrache à moitié son haut, dégrafe d’une seule main son soutien, le lance à travers la pièce et lèche goulûment ses merveilleux seins. Incapable de me contrôler, je donne un coup de hanche pour me retrouver sur elle. J’avale une mamelle. Elle profite de mon obsession vers sa poitrine pour remonter ma jupe et glisser une main sur mes fesses, par-derrière. Frémissements garantis. Pour pouvoir apprécier au mieux ses délicates attentions, j’arrête tout, je redresse la tête et la fixe dans les yeux. Son regard a changé, du tout au tout. Elle dirige les opérations. Elle glisse à présent un doigt sous ma culotte pour venir effleurer ma rosette. D’un homme, j’aurais été outrée. Venant d’elle, ce n’est que du plaisir. Son doigt ne s’arrête pas là (malheureusement)… il continue pour arriver près de mon sexe, si longtemps délaissé. Elle me pousse un peu vers le haut pour y accéder plus facilement et… me pénètre…
    
    Je suis à quatre pattes, au-dessus d’elle. Mon Dieu ! Mon Dieu que c’est bon ! Ce doigt qui entre et sort, avec une lenteur exaspérante. Ça me tue. À présent, avec deux doigts et une exquise délicatesse, elle fouille, consciencieuse, mon antre. Je perçois des bruits de succion. Ce doit sûrement être mon sexe qui est trempé. Jamais au grand jamais je n’ai eu de telles sensations. Elle se rapproche de mon anus. Je me sens défaillir. Et je jouis dans un cri grotesque (mais je m’en fous). ...
    ... Je suis prise de soubresauts. Mon Dieu ! Mon Dieu que c’est bon !
    
    Isabelle ne me laisse aucun répit. Elle me pousse sur le côté. Je me positionne sur le dos et, instinctivement, place les mains devant mon sexe. Isabelle reprend ses lubriques attouchements. Imperceptiblement, elle écarte mes bras, me caresse les aisselles, me les lèche. J’adore ! Ma respiration se fait plus profonde. Mon cœur s’emballe. Je n’en aurai jamais assez. Elle m’attrape, ferme mais douce, les poignets pour les placer au-dessus de ma tête. Elle relâche son étreinte et me murmurant un « ne bouge plus » aussi péremptoire qu’excitant.
    
    Elle pourrait faire ce qu’elle veut de moi !
    
    Le lent ballet de ses mains reprend. Son index et son majeur se sont, à nouveau, aventurés dans mon vagin. Isabelle les ressort, imbibés, et me les présente devant mes lèvres. Je les suce, avide. Enivrante odeur qu’est la mienne. Elle fait ainsi plusieurs allers-retours, langoureux et divinement lents, entre mon sexe et ma bouche.
    
    Puis, son regard se fixe dans le mien, un sourire presque sadique sur son visage, elle s’active sur son abricot à elle. Elle y enfonce ses doigts, profonds. Et me les place dans ma bouche.
    
    — Goûte le mien, me susurre-t-elle.
    
    Que c’est « bandant », mon Dieu ! Mon Dieu !
    
    Puis, il n’est plus question de doigts mais de langue. Je ne m’y attendais pas, perdue dans ma volupté de suceuse. Je pousse un cri de surprise. Elle parcourt mes grandes lèvres, les mordille, pour arriver (enfin) au ...
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