Ça c’est passé simplement 2
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Macerou, Source: Hds
... cette danse où nos jambes doivent s’emmêler et j’ai même cru ressentir deux ou trois qu’elle frottait son entrejambe sur ma cuisse, mais j’ai de l’imagination. Enfin une série de slow arriva, la reine des danses quand on veut « emballer », et j’étais décidé à faire avancer mes sentiments ! Nous arrivâmes sur la piste et sans hésitation elle mis ses bras autour de mon cou et se colla à moi. Pour ma part, un bras au niveau des épaules et l’autre au niveau de la ceinture et j’augmentais le collage, nos bassins étaient l’un contre l’autre et elle entrepris un léger mouvement des hanches, ce qui entraînait un frottement de nos bas ventres. J’étais déjà en forme avant, et ce frottement en fit qu’augmenter le volume et la dureté de « popol ». Pendant cet exercice de surplace en rythme, un instant je m’éloignais et inclinant la tête et je l’embrassais dans le cou. Il y eut une contraction de surprise et peut-être une petite réaction épidermique. La série slows terminée, retour à notre table. A peine assis, je mettais discrètement ma main droite sur sa cuisse, aussitôt sa main vint sur la mienne. Je pense pour la contrôler. Cela ne m’a pas empêché de progresser en remontant le bas de la jupe, pour arriver sur la peau. Sa main restant sur la mienne. La première réaction fut quand passant du dessus de la cuisse sur le coté, les jambes se refermèrent. Elle me dit alors :
« Arrêtes STP, on part »
« D’accord, … pour ta chambre ? »
« Oui, comme tu veux »
Et nous partîmes, mais ...
... arrivé à la voiture, je m’arrangeais pour la « coincer » contre la voiture et l’embrassais goulument, elle eu un mouvement de recul (peut-être de surprise), puis se laissa aller et nos lèvres se retrouvèrent, nos langues se cherchèrent, se caressèrent, … pendant ce temps ma main droite s’affairait à remonter le bas de sa jupe. Arrivé à mi-cuisse ou un peu plus haut :
« Non arrêtes, pas ici »
Mais j’étais décidé à aller plus loin. Pour rester debout, même appuyée à la voiture, elle avait, problème de gravité, les jambes légèrement écartées, ce qui permit à ma main de glisser entre ses cuisses, dont la peau était très douce, et je continuais ma progression vers son intimité.
« Arrêtes, on va nous voir »
« On ne risque rien, c’est sombre »
J’étais presque arrivé, et volontairement ou involontairement, les cuisses s’écartèrent légèrement, ce qui me permit d’atteindre mon but. J’avais sous mes doigts, le dernier obstacle, une petite culotte, déjà humide, qui recouvrait cette grotte d’amour. Ne pouvant attaquer de front cet obstacle, je le contournais, cela me permit d’atteindre, enfin, cette minou convoitée. Y arriver avait été une chose, la pénétrais en fut une autre. En effet, la tête raisonnable de Mireille dit : « Arrêtes, pas ici » alors que le bas du corps réagissait autrement, les jambes s’écartaient légèrement, me laissant un meilleur accès, et le bassin poussait cette belle chatte à avaler mes doigts, puis la tête suivant ses envies dit : « OOOhhh, …, Oui, ...