Ça c’est passé simplement 2
Datte: 21/02/2018,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Macerou, Source: Hds
... de montrer que ce que je viens de faire a porté se fruits. » et elle sortie de la voiture.
Entrer dans l’hôtel, se diriger vers les chambres. Ma chambre étaient la première dans le couloir, Mireille eu un instant d’arrêt devant ma porte. Je lui dis que ce serait mieux dans la sienne. On y arriva, elle ouvrit sa porte, un coup d’œil de ma part dans le couloir et j’entrais.
A peine passé le petit couloir d’entrée, donc dans la chambre, le corsage éjecté, la jupe abandonnée. Cet effeuillage terminé Mireille évacua les draps et se coucha. Je me dépêchais de me déshabiller avant d’avoir une réflexion ironique du genre « t’en mets du temps, ou t’es encore habillé ».
Je m’allongeais à coté d’elle et commençais à l’embrasser, sa bouche était chaude et pulpeuse, sa langue fouineuse, goulue, puis je m’occupais des ses seins, car elle m’avait dit, aimer les donner à lécher, sucer, … C’est là qu’elle me dit : « Tu t’es occupé de mes lèvres du haut, celles du bas t’attendent ». Ses désirs étant des ordres, je descendais vers sa bouche du bas mais en profitant de caresser, embrasser sa peau que je trouvais très douce, pour arriver enfin à son minou. Sa propriétaire avait prévu mon arrivée, car les jambes étaient largement ouvertes, permettant un accès aisé à sa bouche inférieure. M’approchant de sa grotte d’amour, je humais son odeur de femme chaude à la chatte humide presque coulante. Je parcourais de ma langue ce sillon rose qui séparant les deux lèvres semblait s’ouvrir qui ...
... ne demandait qu’à être pénétré. Ma langue s’enfonça dans ce puits chaud, et la sono se mis en route.
Pendant ce temps, elle ne restait pas inactive, se caressant les seins, se les malaxant.
« Oui, , continues, …, prends moi avec ta langue, ..., oui, comme ça, … , regardes, je m’ouvre pour toi, …»
Effectivement, ses deux mains arrivèrent de chaque coté de sa chatte et écartèrent ses grosses lèvres, ouvrant son intimité à ma bouche avide de la boire. Et la petite musique continua, mais il fallait soulager « popol ».
Heureusement, Mireille intervint : « Arrêtes,… tu vas me faire jouir, , je te veux ? …, prends moi, …, baises moi, …, baises moi fort, …, je veux te sentir me prendre, …, viens , … »
Je lui dis : « Retournes toi, mettez toi à genoux »
Sans sourcillée, elle se mit en position levrette et passant sa main entre ses cuisses attrapa mon sexe et le guida dans son intimité, ou il pénétra sans difficulté, tellement son fourreau était ouvert, lubrifié, accueillant. Elle prit l’oreiller dans ses bras, ce qui mettait son joli cul en évidence. Cramponnée à ses hanches et enfoncé en elle, je commençais mes va et vient, bien décidé à la faire grimper aux rideaux (si j’étais capable de tenir la distance). Tout cela fit que le son se mit en route.
« C’est bon je te sens bien, …, OOOHHHH, oui, …, j’aime que tu me prennes comme ça, …, baises moi fort, …, ooohhh, oui, j’aime que tu me montes, …, dis moi que t’aimes me baiser, …, de baiser ta salope, …, ouiiiii, ...