De si jolies filles
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
ff,
fff,
ffh,
fbi,
jeunes,
couplus,
poilu(e)s,
fépilée,
campagne,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hgode,
échange,
portrait,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... Karine, les deux amantes dont je t’ai parlé. Voici mon mari, Danny.
Nous avions trop rapidement oublié que Nolwen était effectivement mariée. L’existence de son époux nous semblait très secondaire, il était presque inexistant tant cette femme était virtuose dans le saphisme ; elle ne pouvait pas être hétérosexuelle. Visiblement, le jeune homme était tout comme son épouse, très à l’aise avec la nudité, se comportant comme s’il était habillé alors qu’il avait devant lui sa femme et deux filles à poil. Pour moi, en tant que bisexuelle, cette apparition était un plaisir tandis que Karine commençait à paniquer.
— Je suis désolé de perturber votre petite sauterie, dit Danny et voyant que les deux invitées le regardaient bizarrement à cause de sa nudité, il explique : si je suis nu, ce n’est pas pour vous choquer ou vous agresser, c’est seulement qu’ici, avec ma chère et tendre, nous sommes rarement habillés. Nous aimons vivre nus, tous les deux, même en la présence d’amis. Libre à eux de nous suivre ou de rester habillés.
— Vous êtes chez vous, lui répondis-je, vous faites comme bon vous semble.
J’avais eu le loisir de détailler Danny pendant qu’il soliloquait. Il avait un corps assez musclé aux proportions agréables. Son visage aux traits réguliers était empreint de douceur et de fermeté à la fois, cela était peut-être dû à ses yeux vairons, l’un bleu, l’autre marron clair. Comme il était nu, je ne m’étais pas privée de jauger son phallus : je le trouvais beau car ...
... partant vers l’avant et non pas pendouillant, assez long sans être trop massif.
Me voyant plus intéressée que choquée par la situation, Imperceptiblement Nolwenn me poussa vers son mari, jusqu’à ce que nous soyons très près l’un de l’autre. Nous fîmes un pas l’un vers l’autre pour que nos corps entrent en contact, alors je sentis son phallus venir caresser mes hanches. Lorsqu’il posa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche et lui donnais ma langue. Nous nous sommes étreints sous les yeux de son épouse et de ma copine. Dès lors la pulsion sexuelle était trop forte pour que nous puissions nous arrêter.
Ce qui devait arriver arriva, nous avons regagné la chambre tous les quatre et Danny passa de sa femme à moi, nous honorant pareillement. Karine participa à ces échanges sans que l’homme ne la touche ; elle caressait nos poitrines, léchait un sexe ruisselant abandonné, et présentait effrontément sa vulve à Nolwenn ou à moi pour ne pas perdre ces moments de jouissance. Pour ma part j’étais un peu déçue de cet amant que je trouvais trop prévenant, faisant l’amour avec beaucoup, certainement trop de douceur, pour m’emporter au septième ciel. Ce que j’obtiens de plaisir avec une femme, je ne le recherche pas chez l’homme. Je préfère avec un mâle quelque chose de torride, de viril, qu’il me bouscule, qu’il me brutalise au besoin avec sa queue. Danny, tout en étant habile, me respectait trop. Il me baisait comme une femme l’aurait fait et sa queue, bien qu’agréable, n’était pas ...