De si jolies filles
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
ff,
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jeunes,
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poilu(e)s,
fépilée,
campagne,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hgode,
échange,
portrait,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... que tu baises, pas avec ma copine, et encore moins avec toutes les deux.
Pourtant, il m’est arrivé d’offrir à mon amante deux ou trois hommes de passage. Il n’y avait aucun vice dans cette démarche, simplement le désir de permettre à ma copine de connaître les plaisirs qu’on peut éprouver dans les bras d’un homme, à condition qu’il soit parfait à tous égards. Je m’en assurais toujours, puisque je testais les aptitudes de l’étalon avant toute chose. Je ne voulais pas livrer le frêle agneau au loup. Karine était toujours libre d’accepter ou de refuser. Dans tous les cas, je ne participais pas à leurs ébats, je n’y assistais pas non plus. Il m’arrivait d’écouter les exclamations et vagissements en me branlant, Karine étant assez bruyante lorsqu’elle était prise par un homme. Elle préférait tout de même que je sois à proximité, craignant toujours que son partenaire se montre trop violent et qu’il ne respecte pas sa pudeur. Je réveillais chez elle son côté bisexuel. Je la réconciliais avec l’hétérosexualité, car elle m’avoua prendre du plaisir dans ces rapports, qu’elle ne désirait pas trop fréquents, comme un plat exquis qu’on ne sert qu’une ou deux fois l’an. D’ailleurs, elle restait foncièrement lesbienne tout comme moi.
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Nolwenn était une femme de 24 ans que nous avons rencontrée au cinéma. Un feeling incroyable nous avait rapprochées d’elle. Très rapidement nous n’ignorions pas que nous étions lesbiennes toutes les trois. L’occasion était trop ...
... belle et elle vint chez nous, sans attendre, pour passer d’agréables moments. Elle n’avait aucune retenue, aucune réserve, et nous avons pu faire l’amour avec une totale liberté. Par moments elle se faisait douce comme une chatte, presque passive en recevant nos baisers appuyés, nos coups de langue vicieux, nos doigts fureteurs. À d’autres moments, c’était une tigresse, se faisant conquérante, allant de mon corps à celui de Karine, voulant nous immoler ensemble sur l’autel de la jouissance. Elle savait donner du plaisir aux femmes, avait en la matière une grande expérience. De même, elle connaissait parfaitement son corps, la source de sa jouissance, nous guidant au besoin pour atteindre au mieux le climax du plaisir.
Lorsqu’elle nous quitta, Karine et moi étions épuisées et repues de sexe. Rarement nous avions eu une partenaire sexuelle si en accord avec notre vie de lesbiennes sybarites. Nous allions nous revoir, cela ne faisait aucun doute. Le lendemain, elle nous appela pour savoir si nous avions bien récupéré. Le samedi suivant elle nous invitait chez elle, une belle maison à la campagne, l’endroit idéal pour faire des folies sans se soucier des voisins et du qu’en-dira-t-on.
C’est totalement nue qu’elle nous accueillit sur le perron d’un pavillon moderne.
— Mettez-vous à l’aise, mes chéries, dit-elle en nous embrassant tendrement. Allez sur la terrasse et installez-vous sur les transats.
Karine et moi, nous quittâmes nos vêtements et une fois dans la même ...