De si jolies filles
Datte: 04/03/2019,
Catégories:
ff,
fff,
ffh,
fbi,
jeunes,
couplus,
poilu(e)s,
fépilée,
campagne,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
hgode,
échange,
portrait,
Auteur: Drulin, Source: Revebebe
... tenue que notre hôtesse nous découvrîmes une belle plate-forme ombragée par une treille, donnant sur un vaste jardin arboré. Ces arbres nous dissimulaient de la vue de tout curieux. Nolwenn nous rejoint avec des boissons fraîches. Elle se sentait visiblement aussi à l’aise nue chez elle qu’habillée en ville. Il se peut même que la nudité fût plus dans sa nature que lorsqu’elle était endimanchée. Il est vrai qu’elle avait un physique avantageux avec une poitrine rebondie, un ventre plat, un beau cul tout en rondeur et une foufoune bien entretenue. Les poils courts avaient été teints au henné, formant un ovale sur son bas-ventre et ne dissimulant absolument pas une vulve dont les petites lèvres ne semblaient jamais se tenir sagement derrière leurs grandes sœurs. Comme elle était dénuée de toute pudeur, cette tenue était pour elle, comme une libération. Or, en cet instant il n’y avait encore rien de sexuel dans son attitude.
Cela ne dura pas très longtemps, puisque nos verres bus, nous nous approchâmes et échangeâmes des baisers. Nolwenn nous entraîna dans une chambre avec un spacieux lit sur lequel nous nous sommes allongées. Les baisers laissèrent place à des caresses partant à la découverte de nos corps qui furent bientôt en sueur. Nous variions les positions, tantôt au-dessus, tantôt au-dessous, nous attachant à l’excitation d’une vulve ou d’une poitrine. Nous fûmes emportées dans une danse infernale, les bouches allant d’un sexe à l’autre, les fesses se pelotant à ...
... pleines mains, les anus dorlotés par des langues de rose, les seins tétés ou pétris. Les petits cris que nous poussions étaient de surprise ou de plaisir, nullement ceux de la douleur. Qui m’enfonçait des doigts dans la chatte ? À qui appartenait le clitoris que je martyrisais ? Quelle langue venait jusqu’à jouer avec l’entrée de mon anus ? Sur quelle poitrine mes mains se posaient ? Tout cela n’avait pas grande importance, tant notre jouissance était forte. Le plaisir était donné en continu et les jouissances étaient sporadiques, comme un feu d’artifice. Il arrivait qu’en guise de bouquet final, un orgasme saisisse l’une de nous, avant qu’elle ne revienne reprendre sa place dans la partie.
Combien de temps avons-nous fait l’amour ? Je ne saurais le dire. Un peu sonnées, mais terriblement heureuses, nous sommes sorties de la chambre et avons été nous laver. La salle de bains disposait d’une vaste douche à l’italienne dans laquelle nous pouvions tenir à trois sans problème. Nous nous sommes enduites mutuellement de gel douche, puis une fois rincées, Nolwenn nous dit :
— On va se sécher au soleil.
— Très bonne idée.
Mais une fois arrivées sur la terrasse, nous tombâmes face à face avec un homme nu. Un superbe étalon, l’Apollon des statues de la Grèce antique.
— Oh ! Danny, s’écria Nolwenn, tu es là. Je pensais que tu reviendrais plus tard.
— Oui, on a écourté notre rando, mon copain n’était pas en forme. Mais présente-moi tes charmantes amies.
— Oui, voici Cindy et ...