1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 01/03/2019, Catégories: h, fh, jeunes, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    ... toujours aussi motivées qu’on veut bien le croire. Vu le ratio hommes/femmes, on pourrait penser qu’elles sont les reines ; et pourtant, ce ne fut pas jours le cas : j’en ai vu plus d’une ne pas vraiment avoir de plaisir.
    
    Mais ce soir, c’était différent. C’était spontané, chaud. C’était un jeune couple qui baisait plus par envie que par habitude. Je me suis retrouvé là, caché dans un buisson et la queue à l’air. Ça fait un peu cliché, mais j’y répondais pourtant bien. Ma main est venue à mon sexe aussi naturellement que le sien aux lèvres de Caroline (c’est le prénom que j’ai cru distinguer). Mais tout comme elle, je ne voulais pas d’une jouissance immédiate. Elle et moi devions encore profiter de l’instant ; elle pour le sentir venir en elle, moi pour avoir plus de plaisir. À son âge, on ne saurait imaginer une relation sexuelle sans pénétration. Elle et moi, sans qu’elle ne connaisse mon existence, attendions au fond la même chose. Encore plus de plaisir.
    
    Le jeune homme, Éric, Cédric ou Pierrick peut-être, a enfin lâché son engin pour mieux la caresser. Il n’avait que sa main gauche de libre et on va imaginer qu’il est droitier, expliquant alors un peu sa maladresse. Le sexe des jeunes amoureux est toujours plus ou moins maladroit. Il finit toutefois par lui faire rompre les amarres. Ses doigts sont entrés en elle et elle a enfin commencé à ressentir du plaisir. Malgré l’inconfort du bois, elle commençait à faire onduler son bassin pour avoir droit à une caresse plus ...
    ... profonde. Il m’a semblé aussi qu’elle mettait moins d’ardeur à le sucer. Ses gestes étaient plus mécaniques, moins profonds. Cela n’en restait pas moins excitant de voir cette belle inconnue sucer ce jeune homme dans un bois.
    
    J’étais moi-même bien excité ; je savais que je jouirais du spectacle qu’ils allaient m’offrir. Un spectacle chaud. Mon sexe sorti du pantalon et caressé depuis quelques minutes, je commençais à ressentir du plaisir à ma masturbation. J’étais en appui d’une main sur un arbre, légèrement penché en avant, et l’autre main sur ma queue. Une petite brise faisait courir de temps à autre un souffle frais sur le chaud de ma queue ; j’appréciais. J’aurais pu tout prendre, tout de suite et me sauver. Mais j’en voulais encore plus. Je voulais jouir en même temps qu’elle, m’imaginer les mains sur ses hanches quand son corps relâcherait la tension après avoir joui.
    
    Je prends, il est évident, un plaisir fou à l’imagination, à vivre par procuration. C’est pour cela que je calais mes gestes sur le siens. Mais j’espérais tout de même que les choses n’allaient plus durer trop longtemps.
    
    Il y aurait eu encore mille façons de la caresser. Elle aurait pu oublier l’inconfort du bois avec n’importe quelle caresse faite avec envie. Mais lorsque l’on est jeune et que l’on découvre le sexe, si l’envie ne manque pas, la finesse dans les gestes est plus rare. Il a donc remplacé son doigt par son sexe assez rapidement. Elle, allongée sur la table, le bassin au bord du vide ...