1. Promenons-nous dans les bois...


    Datte: 01/03/2019, Catégories: h, fh, jeunes, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation pénétratio, Auteur: Fwm, Source: Revebebe

    Il m’arrive d’avoir des envies étonnantes. Je parle en matière de sexe. Je ne sais pas du tout pourquoi, mais j’ai toujours trouvé la forêt très érotique. Sont-ce toutes les cachettes que l’on peut y débusquer pour faire l’amour qui m’excitent ? Je ne sais pas. Cela ne doit pas y être étranger, mais j’ai l’impression qu’il y a d’autres éléments. Je serais bien incapable de les définir.
    
    Toujours est-il que ce soir-là, l’envie était plutôt forte. C’était en plein mois de juillet ; le soleil avait tapé toute la journée, la soirée était douce. Bref, un de ces soirs où il est agréable de faire l’amour et où la météo nous invite à le faire dehors.
    
    Pas de chance pour moi, ma récente compagne était partie en vacances dans sa famille. Je n’avais que très peu de nouvelles d’elle et j’étais tiraillé entre mon désir sexuel et l’attente de la revoir. Une attente que je trouvais longue et qui commençait à me miner un peu. Le coup de blues et l’envie de sexe forment un mélange bizarre. Je suis donc sorti de chez moi avec l’espoir que marcher m’aiderait à me reprendre un peu. À 10 heures du soir, le ciel est encore assez clair pour aller se balader un peu. Je me suis retrouvé comme souvent dans un grand parc boisé, à quelques minutes en voiture de chez moi.
    
    Il y a dans ce grand parc quelques petits bosquets où les arbres forment un espace sans branches à l’intérieur. La végétation extérieure cache un intérieur où l’on peut se mettre debout à deux adultes. Plus d’une fois, je m’y ...
    ... suis imaginé avec une belle femme, jupe relevée et les mains en appui sur un arbre. Sauf que la belle femme en question n’était pas là aujourd’hui.
    
    J’ai donc marché, sans but, dans ce grand parc, ruminant son absence. Alors que je commençais à être à l’écart de tout, j’ai entendu quelques gloussements, les rires d’une fille qui a envie d’être coquine. Moi et mes hormones, un peu trop réveillées en ces temps de solitude, avons peut-être eu l’imagination un peu trop débordante. J’imaginais que sur une table de pique-nique, quelques mètres plus loin, une jeune femme jouait à sérieusement exciter son partenaire.
    
    Bien qu’il ne fît pas encore nuit, les lieux étaient plutôt sombres. Il fallait donc que je m’avance avec prudence si je ne voulais pas que l’on me repère. J’avais bien l’intention d’aller observer ces coquins. Qui sait, peut-être verrais-je un de ses seins ou – mieux encore – même si je sais que je fantasme, lui taillerait-elle une pipe ?
    
    Après avoir fait une dizaine de pas, je me suis rendu compte que je n’entendais plus rien. Enfin, il y avait bien encore quelques oiseaux, les bruits de la ville très loin, mais rien de plus. À ne rien voir, je pouvais tout imaginer pour expliquer l’arrêt des bruits. Peut-être avait-elle déjà la bouche pleine, l’embrassait-elle à pleine bouche ou m’étais-je simplement trompé sur leurs gestes. Pire, ils avaient peut-être arrêté de jouer car ils m’avaient entendu venir.
    
    J’hésitais. Je pouvais rebrousser chemin et peut-être ainsi ...
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