Bain de minuit - Histoires de Sexe

Bain de minuit

... ce soir-là, en faisant l’amour avec Martine, j’ai pensé plusieurs fois au corps de Sophie… Je l’ai prise en levrette, j’adore cette position de la croupe offerte, du cul triomphant, des seins tombant sous la main, du délicieux frottement sous la verge… Je ne sais pas pourquoi elle m’a dit, après, en se coulant dans mes bras :

— Elle a un beau cul, Sophie… Un peu jument, peut-être ?

Le lendemain matin, je descends assez tôt. Martine dort encore, Jean-Pierre aussi probablement. Sophie est à la cuisine, en train de préparer le café. Elle est vêtue d’un tee-shirt qui lui arrive juste en bas des fesses. Difficile de voir si elle porte un string… ou rien du tout. Je m’approche d’elle sans bruit, la prend par la taille et lui dépose un baiser dans le cou.

— Salut, beauté ! Alors, bien dormi ?
— Super ! Pas assez longtemps, peut-être.

Elle se dégage, et commence à disposer des bols sur la table. Je vais vers le frigo pour préparer le petit déjeuner.

— Tu sais que tu es très belle ?
— Ah bon ?
— Oui, je te trouve très belle, et même, si j’ose, très bandante.
— C’est gentil, merci : j’apprécie le compliment… Mais encore ?
— On t’a déjà dit que tu avais un postérieur superbe ?
— Un beau cul ? Oui, on me l’a déjà dit. Je pense que c’est vrai.
— Tu aimes bien le montrer, en plus ?
— Ce n’est pas ça, mais j’aime bien être nue. Tu sais qu’avec Jean-Pierre, nous sommes naturistes. Alors, dès que l’occasion se présente, on se met nus : on est tellement mieux comme ça, ...

... surtout ici, en cette saison.
— Mais tu n’es pas nue, maintenant…
— Non, mais on n’est pas tout seul, et on ne veut pas s’imposer !
— Oh, mais tu peux imposer, tu sais. Impose, s’il te plait, impose !
— On verra
— Et dis-donc, la nudité comme ça dans les camps, au soleil, ça ne porte pas à la bagatelle ?
— Si, bien sûr ! Mais il y a un moment pour tout, et ce n’est pas parce que tu es nue dans la mer que tu vas partouzer avec tout ce qui passe ! Par contre, à l’occasion, je ne dis pas…
— Et Jean-Pierre ?
— Jean-Pierre ? Il pense exactement comme moi ! Ce n’est pas le genre à sauter sur tout ce qui bouge, mais à l’occasion…
— Et à plusieurs ?
— Oui, ça peut être marrant. Mais il ne faut pas être nombreux, trois ou quatre partenaires maxi. Au-delà, ça devient glauque.

Martine, puis Jean-Pierre arrivent ensuite. Martine jette un regard sur la tenue de Sophie. Elle est adorable, ébouriffée, dans un peignoir mis de guingois, sous lequel elle est manifestement toute nue, un de ses mignons tétons d’ailleurs est prêt à faire coucou par l’échancrure. Elle surprend un regard de Jean-Pierre, et se rajuste machinalement.

Dans la matinée, Sophie prend un bouquin et va s’allonger au bord de la piscine avec un livre. Elle est « vêtue » d’un de ces minuscules strings dont elle a le secret. Martine redescend, vêtue d’un maillot presque correct.

— Tu ferais mieux de ne rien mettre remarque Martine, en enlevant son soutien-gorge
— Je me méfie du soleil : j’ai pris une fois un ...