1. Baiser utile


    Datte: 27/02/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster

    ... répartie. Il répondit qu'il affectionnait
    
    en effet les ans passant, la chair fraîche. Répartie non moins vache. Il
    
    me concéda cependant que ces petits minois étaient souvent nuls au pieu.
    
    Je goûtais l'hommage. Je me promettais de le remercier. Il eût droit en
    
    effet à une pipe. J'adore sucer après un bon déjeuner. Il n'est pas de
    
    dessert plus délicieux. Sa main s'enfonçait dans mes cheveux à mesure
    
    que son désir montait. Je le sentais chavirer. Je triomphais. Il me dit
    
    en un grand éclat de rire de n'en point faire trop. Il ne voulait
    
    éjaculer. Le cochon avait envie du reste.
    
    Dans un creux de chemin du retour, il me fit appuyer contre un arbre
    
    pour me besogner derrière. On nous voyait vraisemblablement de la route,
    
    le coït étant émaillé de coups de klaxons intermittents venus de poids
    
    lourds vraisemblablement frustrés. Il me lâchât enfin la purée dans un
    
    cri terrible d'assouvissement. Nous éclatâmes de rire du témoignage de
    
    sa jouissance. Il m'assura que tout cela n'était pas feint. Qu'il avait
    
    pris réellement son pied. Que j'étais effectivement une salope qu'on lui
    
    avait maintes fois loué. Il avait envie de recommencer bientôt.
    
    Quelle ne fut pas ma surprise quand peu loin de nous et après que nous
    
    nous garâmes, la voiture de Luc apparut. Celui-ci d'emblée nous repéra à
    
    l'insu de Williams encore. La fellation que je procurais à celui-ci ne
    
    m'empêcha pas de voir que Luc demeurait un temps en sa voiture à ...
    ... nous
    
    espionner. J'imaginais un peu de son dépit que nous nous amusions ou que
    
    du moins son rival prit son pied avec une salope comme moi. J’oubliais
    
    peu après l'incident. Williams me sautait régulièrement et des fois dans
    
    le bureau. Commencèrent alors les façons sournoises de Luc.
    
    Il trouvait trop d'occasions à me convoquer pour des raisons futiles.
    
    Ses regards sur mes cuisses bientôt ne laissèrent plus planer de doute.
    
    Il voulait tout comme les autres me sauter. Je décidais cependant à lui
    
    faire payer son ancien mépris et le fait de son espionnage. Il ne me
    
    déplaisait pas qu'il enrageât que son rival jouit de moi. Je n'étais pas
    
    mécontente d'être l'objet de rivalité entre ces deux terribles fauves.
    
    Je décidais en tout cas à faire lambiner le Luc. Dès lors son désir
    
    s’exaspérât pour moi. Sa feinte bienveillance se mua alors en
    
    irritations successives.
    
    Survint le coup de pouce. Un tiers s’immisça en effet dans notre
    
    relation. Il s’agissait d'une vieille fille, une copine. Un peu la
    
    souffre-douleur de tout le monde. Elle n'en pouvait plus. Il lui restait
    
    cinq ans avant la retraite. Avaient été créés des postes en une nouvelle
    
    entité grassement rémunérés. Pour tout dire elle avait peu de chance d'y
    
    parvenir. Quand elle sut pour les avances de Luc à mon égard une idée
    
    lumineuse lui traversa l'esprit. Je pouvais être ce Deus ex machina qui
    
    pouvait tout résoudre dans son destin minable et inextricable.
    
    Au départ je dis non. Je ...