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Baiser utile
Datte: 27/02/2019, Catégories: Anal Mature, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: BAZOUK1, Source: xHamster
Luc notre chef de groupe, me draguait ostensiblement depuis quelque temps. J'en étais assez flatté car il jetait généralement son dévolu sur des jeunes stagiaires. Non pas que je fus vilaine mais j'aurais pu croire qu'il dédaignerait une garce avec quelques heures de vol. Il était notoire que je couchais tant avec les clients que d'autres collègues. Je trouvais singulier qu'il décidât du jour au lendemain à me faire tomber dans son escarcelle. J’eus du mal à en deviner la cause. J'ai ma petite idée là-dessus. On n'aime rien tant comme les enfants à convoiter le jouet d'un autre. Ainsi il y a six mois me surprit-il un matin à badiner dans le bureau de Williams un autre collègue dont il était pour maintes raisons jaloux. Tels deux coqs à grade égal, ils se tiraient la bourre. Tout leur était occasion à compétition et notamment les filles. Je dus ce jour-là entrer dans leur match. J'avais posé une cuisse au bord du bureau de William. Pose manifestement indécente. Je n'avais cure que celui-ci ou un autre purent mater ma chair affleurant à la naissance du bas. J'adorais allumer ainsi. Il me fallait coucher avec William pour obtenir un avantage. J'ai toujours baisé utile et comme je prends mon pied à cela, on dira que je joins ainsi l'utile à l'agréable. L'ami Luc dut percevoir cela en un instant. Il s'excusa et se retira hâtivement du bureau. A sa mine déconfite l'ami Williams put être assuré de l'avoir contrarié. Cela ...
... le disposa mieux à mon égard. Tout était bon pour humilier ce rival. Je lui dis qu'il fallait qu'on discute d'un tel dossier qui n'avançait pas. L’œil égrillard, il répondit qu'on devrait déjeuner ensemble pour régler cela. Le vent soufflait au bon endroit dans la voile. Je ne sais comment mais Luc nous surprit une seconde fois dans le parking tandis que nous nous embrassions et que la main de Williams ravageait le fond de ma culotte. Du moins le vis-je un instant dans le rétroviseur. Il allait à son propre véhicule. Je n'en dis mot au compagnon qui poursuivait ses caresses m'arrachant les premiers gémissements. Le curieux est que Luc demeura longtemps dans sa voiture à nous espionner manifestement. Je n'en avais guère cure. Le vice des voyeurs entre assez dans mon excitation. Il démarra enfin et disparut. Le resto se passa bien. Le supposé dossier fut réglé rapidement. Le pied sorti de l'escarpin je caressais à mon tour la cheville de mon mâle lui témoignant sans ambages mon désir, mon envie de baiser. L'alcool aidant il devint vulgaire. Jetant loin le masque de la décence et de la pudeur il me signifiait assez le niveau où il me situait. Pour résumer j'étais une pute notoire. Il s'étonnait de n'avoir user depuis de mes talents. Il était bien résolu à ratt****r le temps perdu. Je lui répliquais que de jeunes et jolies secrétaires avaient fait qu'il m'avait longtemps dédaigné. Il prit bien l'insolence de ma ...