Mettre le pied à l'eau.
Datte: 26/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Grimsley, Source: Hds
... poches, l'échappant de mes mains tremblotantes. L'indicateur clignote pour m'indiquer la réception d'un message. Je prends une autre gorgée de cognac, puis de déverrouille mon téléphone pour y lire tes missives.
"Boris. Je t'aime. Marcello voudrait qu'on couche ensemble. Qu'est-ce que je fais?"
Je lis la phrase une fois, deux fois, trois fois. Ce sont toujours les même mots. Ma tête hurle que c'est impossible. Une partie de moi veut courir te chercher, te ramener avec moi. L'engorgement qui se noue dans mon sexe trahis d'autre émotions. L'excitation de te savoir prise est palpable, et je suis moi même dans de bien jolis draps. Je réfléchis, mais je sais à quel point le silence peut être terriblement long de ton côté. Je prends un grand respire et je réponds.
"Ton désir et ton plaisir t'appartiennent."
Une interminable pause avant ta réponse.
"C'est oui ou non? J'ai besoin d'une réponse claire, Boris."
Je prends une autre gorgée.
"C'est oui. Faites-vous plaisir. Je t'aime Annabelle, tu est ravissante ce soir."
Je dépose le téléphone, puis Adèle me regarde.
"Et alors?"
Je me rends compte que je n'ai pas démêlé ma situation dans tous cela. Je pense à ton plaisir, mais j'en oublie le mien. Je ricane en hochant la tête.
"Je pense que je ne sais pas dire non."
"Je pense au contraire que tu aimes plutôt dire oui.", me répond Adèle avec franchise. "Veux-tu m'embrasser?". Elle s'approche.
Je m'enlace dans ses bras alors que nos lèvres se ...
... rejoignent, le baiser est d'une intensité plus forte encore plus forte que le premier. Son parfum m'enivre complètement alors que ses mains déboutonnent ma chemise. Je la repousse, et je me met à rire. Je me sens tellement vivant. Je me projette sur elle l'agrippant dans une lutte sensuelle alors que nos mains se parcourent arrachant ici et là nos vêtements jusqu'à ce que nos corps soient complètement dénudés.
Ses lèvres sur ma nuque, les miennes sur ses mamelons qui couronnent sa poitrine généreuse. Ses cuisses autours de ma tailles, mes doigts qui se glissent sur sa chatte fourni. Sa langue sur mes couilles, sa mienne sur son clito, gouttant un parfum qui me marquera toujours. Ses lèvres entreouvertes qui marquent son plaisir. Mes gémissements qui ponctuent une délicate attention envers mon sexe dressé. Ses mains qui m'agrippent alors que je la pénètre. Son sexe mouillé qui m'enveloppe complètement. Des cris de jouissance. Ma chaude semence qui remplit son cul.
Tout semble s'être passé si vite. Nous nous retrouvons tous deux couchés sur le dos, entièrement nus. C'était tellement puissant que je ne peux m'empêche d'émettre un rire triomphant. Je me sent si riche. Quel délice. Je babille des exclamations incohérentes. Adèle me regarde affectueusement avec ses yeux qui semblent signaler que je ne peux rien faire de mal.
Je survole la chambre du regard, me demandant comment j'ai pu me retrouver ainsi. Je recule dans ma tête pour voir le chemin que j'ai parcouru. Mes pantalons ...