On joue au docteur ? - Histoires de Sexe

On joue au docteur ?

... frottant le bout de mon gland sur l’orifice trempé et si doux.

Avec la main ensuite, je répandis le liquide blanc et poisseux sur son ventre luisant de sueur.

Me tirant alors brusquement à elle, elle fit ce qu’elle avait décidé de faire, suçant ma queue, la nettoyant avec un plaisir évident, très consciencieusement, partout, avec une gourmandise non dissimulée.

S’allongeant alors sur la table, au grand dam des couverts qui se répandirent bruyamment sur le carrelage, j’entrepris de lécher la cyprine abondante collée autour et dans les replis de son sexe, m’employant à lisser la peau rose des petites lèvres, cajolant l’intérieur des cuisses et les parois de sa vulve, mélangeant ma salive à son humidité de femme.

Pressant ma nuque dans ses deux mains, elle enfonça mon visage dans son vagin, avec une force que seul un désir pressant et irrépressible peut décupler. Mon nez frotta contre son clitoris, me coupant la respiration, ripant plusieurs fois sur toute la longueur de sa fente. Ma bouche aspira goulûment un peu d’air, puis relâcha les petites lèvres, tandis que mes doigts s’enfonçaient une nouvelle fois dans sa chatte et dans son anus, la masturbant savamment.

Après quelques minutes de ces va-et-vient rapides, je sentis tous les muscles de son corps se tendre, son bassin s’arc-bouter, son mont de vénus se plaquer de nouveau sur ma bouche trempée. Alors, sans m’arrêter, levant les yeux, j’eus de son corps, une superbe image en contre-plongée, le vallon de ses seins cachant le bas de son visage. Elle jouit en longs soubresauts, tremblant des pieds à la tête, dans une série de spasmes convulsifs, tandis que je mordillai encore un moment, me retenant de la dévorer, sa jolie grotte bénie et tellement aimée…

Nous n’avions plus faim d’autre chose et le repas refroidissait… Un peu plus tard, elle me demanda, mutine et l’air coquin :

— Alors Docteur ? Rien à signaler ?