On joue au docteur ? - Histoires de Sexe

On joue au docteur ?

... criai-je brusquement.

Reculant vivement ma chaise, je me levai et sortis mon sexe déjà raide, dressé et conquérant ! Le regard de Sylvie se focalisa immédiatement sur lui, tandis que je commençai à me branler doucement, fixant alternativement la grotte humide, les seins généreux, et les yeux… de plus en plus fiévreux et dilatés.

— Oui ! me dit-elle dans un râle subi ! Branle-toi ! Branle ta bite, je te donnerai ma chatte en cadeau. Elle est à toi ! Dispose-en comme tu veux !…

Ce faisant, elle se redressa sur la table en écartant elle-même au maximum l’entrée de sa vulve, comme une invitation à la pénétrer profondément et sans délai.

— Oui, c’est ça ! Écarte bien les lèvres de ta chatte, ma douce salope, articulai-je d’une voix rendue rauque par le désir. Branle-toi en même temps que moi !

Et chacun de nous, aimanté par le sexe de l’autre, nous nous masturbâmes en haletant.

— Oui, oui, oui, oui ! Plus fort, plus fort ! Plus vite !

D’une main, je me branlai de plus en plus vite, tandis que j’introduisais l’index de mon autre main dans son sexe, et le majeur, après l’avoir mouillé, dans son anus. La pénétration se fit sans effort tant les conduits étaient maintenant humides.

— J’aime ton parfum de femme, Sylvie !

Appréciant mes caresses, elle écarta les cuisses au maximum, relevant les genoux contre ta poitrine, m’offrant un superbe panorama sur les deux orifices brillants de son corps.

Caressant les pointes de ses seins, je vis les mamelons ...

... durcir et rougir, sous la pression de ses doigts experts, tandis que les miens allaient et venaient dans le bas de son corps, dont la vue m’enflammait au plus haut point.

— Aaaaaaaah ! Aaaaaaaaaaah ! Ouiiiiiiiii ! Viens maintenant ! Je veux sucer ta bite !

Je me levai alors brusquement et lui offris sans plus tarder mon membre raide et turgescent. Sa bouche s’en empara avec voracité, l’aspirant goulûment, lèvres serrées, le parcourant sur toute sa longueur, du poinçon à la base, afin de mieux sentir contre les parois de ton palais, les soubresauts convulsifs.

Mon prépuce, heurtant le fond de sa gorge, une montée d’adrénaline s’empara de mes sens.

— Je vais jouir dans ta bouche, Salope ! Avale mon sperme ! Allez, avale tout ! Mange tout ! Mange-moi !
— Non ! Je veux que tu jouisses sur mon visage, mon docteur pervers. Dans mes cheveux, sur mes seins, sur mon corps. Après je nettoierai ce qui restera sur ta bite avec ma langue et j’avalerai les dernières gouttes qui s’échapperont du bout de ta queue.

L’entendre dire cela, l’entendre dire ces mots crus, elle, complètement dépassée par un accès soudain de violence animale, c’était – Whouaaaaaaaa… – comme un élixir de volupté me réchauffant les entrailles, si bien que, sortant brusquement ma verge de sa bouche, j’explosai sur son visage, sur ses paupières fermées, sur son nez, sur ses lèvres…

Les jets tièdes de ma semence opaque zébrèrent sa poitrine et je terminai enfin mon éjaculation sur les lèvres de sa chatte… ...