La couleur des extrêmes
Datte: 24/02/2019,
Catégories:
fh,
hsoumis,
fdomine,
historique,
policier,
Auteur: Claude Pessac, Source: Revebebe
... découvre ses reliefs pour lui encore mystérieux, tente d’en saisir les arcanes inconnues. Et quand Sylvette plonge deux doigts dans sa grotte trempée tout en caressant le haut de sa fente avec son pouce, il perçoit les frissons d’aise qui la parcourt, sa respiration haletante, sa bouche tétanisée, son corps tendu comme la corde de l’arc bandé. Lui-même relâche sa queue distendue, de peur de ne pouvoir contenir plus longtemps son désir.
Doucement, avec une infinie délicatesse, le géant cueille alors la donzelle enfiévrée pour la porter sur la couche. Sur le drap frais, les deux amants, pressés l’un contre l’autre, se saoulent de caresses, s’enivrent de baisers mouillés, s’explorent patiemment avec le désir commun de repousser au plus loin l’extase, libératrice certes, mais qui les séparerait trop tôt. L’un et l’autre veulent jouir de cette communion gourmande qui les unit.
Arbogast s’amuse de ces petits seins agressifs qui pointent insolemment, s’extasie de la douceur de ce ventre chaud qui se creuse sous ses caresses, s’émerveille de la chaleur moite qui émane de la fente délicate. Trop tendu, il s’ingénie à repousser les doigts qui veulent à tout instant se saisir de sa queue trop sensible et dont il sait que le moindre contact à cet instant pourrait déclencher l’explosion. Il veut encore explorer ce corps chaud, plonger ses doigts dans la grotte brûlante, en palper le relief comme un aveugle palpe l’inconnu.
— Laisse-moi encore te découvrir, souffle-t-il. Je ...
... veux tout connaître de ton corps, du petit mystère que tu caches entre tes cuisses.
Alors Sylvette s’abandonne à ses caresses inquisitrices, à ces doigts qui l’explorent au plus profond d’elle-même, s’amuse de certaines maladresses, apprécie l’affolante douceur de certains va-et-vient, la force conquérante d’autres. Attendrie par les efforts patients de son amant, elle s’abandonne, écartelée.
Mais à force d’être caressée, fouillée, fourragée, Sylvette sent ses forces la quitter. Ne voulant pas succomber seule, elle s’échappe vivement, plaque son amant sur le dos et rapide, se met à quatre pattes. Puisqu’il veut tout savoir d’elle, elle va tout lui donner, et puisqu’il lui interdit sa queue, elle va la prendre. Vive comme un cabri, elle lui tourne le dos, lui présente ses fesses, plaque sans ménagement sa chatte inondée et brûlante sur la bouche. Qu’il se régale à loisir comme elle peut, enfin, sucer, avaler, lécher cette queue magnifique qui lui emplit la bouche. Les deux amants ne se privent pas, leurs langues s’affolent, leurs lèvres parcourent sans vergogne ni retenue leurs deux sexes sensibles. Le désir est trop fort, l’extase est à portée. Et si bientôt Arbogast se noie presque dans les flots de mouille déversés par la grotte en transes, Sylvette s’étouffe à demi en avalant le jus salé et épais que crache la bite frénétique. Les corps tétanisés, emportés par la vague magnifique de l’extase, les deux amants jouissent ensemble, infiniment, délicieusement…
Mais leur ...