1. Et hop, tout le monde à la campagne ! (4)


    Datte: 23/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: SHERAB, Source: Xstory

    ... expérience, il doit se souvenir de sa première bite dans le cul, intuitivement, il connaît les gestes qui rassurent, son ou sa partenaire, selon le cas.
    
    Raymond ne voit rien de ce qui se trame sous ses yeux. Paulo paraît poursuivre un but bien précis. Il ne va quand même pas m’enculer, me mets-je à penser. J’ai un peu mal à la hanche mais ce n’est pas le moment de flancher. Je me débarrasse de ma culotte devenue gênante, je rapproche mon fessier du ventre de Paulo. Il y voit immanquablement un signe d’encouragement. Toujours à demi-assis, à demi-couché, il écarte au mieux mes fesses de ses deux mains, me laissant l’initiative de présenter sa grosse andouillette devant mon anus bien ouvert. Complètement inconsciente mais excitée comme une chèvre en chaleur, je tire sur sa queue et la poste juste à l’entrée. Paulo pousse un peu, mais sans violence, seulement pour caler son gland au bon endroit, pour me donner le temps d’apprécier. Cette chaleur est sublime, elle me déclenche un frisson de folie, inimaginable. Je veux être prise, je veux être pénétrée, j’ai le feu. Je ne m’appartiens plus. Paulo pousse. Ouille ! Ça ne passe pas.
    
    J’ai l’impression de recevoir une betterave de la taille de celle qu’on donne entière aux petits cochons. Ne force pas Paulo, attends sagement que je me détende, que je m’ouvre plus complètement. J’ai mal. J’ai mal, pourtant j’ai envie de tout me mettre au fond. Comme si cette douleur était annonciatrice d’une grande jouissance. Je respire un ...
    ... bon coup et pousse du bassin vers ce chibre tant attendu. Ça marche, ça glisse, ça pénètre. Oh ! Pas bien vite. Au début, la peau du prépuce m’a protégée du frottement contre mes muqueuses, maintenant, c’est autre chose, à un point que je n’ose plus bouger.
    
    Nous restons immobiles un bon moment. Moi, craignant chaque secousse de la camionnette, le cul en feu. Paulo, toujours tendu, se demandant ce que je veux. Nous allons devoir décrocher, à mon grand désespoir, je vais en rester là. Cette première expérience serait-elle aussi mon premier échec ?
    
    Soudain, il me vient une idée :
    
    — Tu pourrais envoyer tout ton jus, maintenant, mon petit Paulo ? lui demandé-je en sourdine.
    
    — Heu... Oui, bien sûr, susurre-t-il, très coopérant.
    
    Sans trop bouger, j’attrape la grappe de couilles de Paulo à pleine main pour les agiter violemment. Aussitôt, je sens son gland enfler dans l’entrée de mon cul, puis son souffle sur ma nuque se transformer en rugissement. Le déferlement de sperme ne se fait pas attendre, je sens le flot bouillant exploser dans ma cavité anale, remplaçant favorablement mes petits agacements par une douce onction. Paulo n’arrête pas, il m’envoie une série de grands jets, il me remplit. Je saisis l’occasion pour m’empaler complètement sur son pieu. Le lubrifiant naturel de sa semence, associé à la décongestion du gland me rendent la manœuvre tout à fait acceptable. Ça y est, Paulo est au fond de mon cul, je ne vais pas le lâcher de sitôt. Je le laisse un peu ...