Et hop, tout le monde à la campagne ! (4)
Datte: 23/02/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: SHERAB, Source: Xstory
Bringuebalée dans la 404 camionnette juste au saut du lit, c’est un drôle de réveil. Heureusement que je n’ai pas eu le temps de prendre mon petit-déjeuner, je crois qu’il aurait fini sur les caisses de légumes. Je suis en bonne compagnie, Raymond et Paulo sont aussi de la fête. Il donne, depuis toujours, un coup de main à Tonton Claude les jours de marché, surtout l’été, quand la fourniture est abondante. Claude et Ginette ont pris place devant, nous sommes tous trois sous la bâche, entre les cageots de légumes, le cul posé sur un sac de jute qui nous arrache la peau.
Les deux garçons somnolent, le jour commence à peine à se lever. Paulo est assis devant moi, Raymond à ma droite. Je remarque assez vite que si Paulo reste immobile, ses yeux s’occupent. Ils sont rivés sur mes jambes, ou plutôt sur ma culotte, vu que j’ai les genoux relevés, ma tête est posée dessus. Je lui rends la pareille en lorgnant à mon tour sur la jambière de son short, j’attends avec une certaine impatience que le soleil pointe son nez pour éclairer la situation. Je ne me suis pas trompée, Paulo commence à se faire du cinéma, de sa courte jambière pointe le nez de son reptile rougeoyant. Raymond, qui le sait un peu obsédé par la gent féminine, n’en a pas perdu une miette :
— Mate encore un peu, l’anaconda va pouvoir sortir de son terrier ! lance-t-il pour mettre l’autre dans l’embarras.
— A nous chauffer la nouille comme elle le fait depuis qu’elle est arrivée, Nath’ est condamnée à nous ...
... soulager à chaque fois que nous en aurons besoin, répond Paulo.
— J’aurais peut-être à donner mon avis, voire mon accord, si ça ne vous fait rien, n’est-ce pas les branleurs ?
— A propos de branleur, je me laisserais bien branler, lance Raymond. Si on faisait un concours ?
— De quelle nature ? Je lui demande aussitôt.
— Ben, je sais pas, par exemple, tu pourrais nous branler tous les deux en même temps et le premier qui jute a gagné. Tu serais d’accord, Paulo ?
— Bonne idée, répond-il, en se déplaçant pour s’asseoir à ma gauche.
Amusée par cette proposition, je me dis qu’il faut bien passer le temps jusqu’à l’arrivée au marché.
— Je suis droitière, Raymond va être avantagé, je vais le serrer beaucoup plus fort. Et puis tout ça, c’est bien beau pour votre pomme, mais moi, avec les mains prises, ça ne va pas me chatouiller beaucoup.
— Mais nous deux, on aura les mains libres, t’inquiète pas ! reprend Paulo.
Tournée vers Paulo, je n’avais pas fait attention à Raymond lequel exhibe fièrement son engin en commençant à le lisser tranquillement.
— Tricheur, tu ne dois pas démarrer avant que je donne le départ officiel, c’est moi qui le donne, personne d’autre.
Tout en affirmant d’autorité la règle à suivre, j’empoigne le tuteur de droite pour éviter à Paulo d’être trop tôt disqualifié. Raymond se positionne également sur la ligne de départ en m’offrant sa queue. Je commence par apprécier ces deux sexes semblables au toucher, mais absolument différents par ...