Traitement post-traumatique
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
amour,
Masturbation
Oral
fdanus,
jeu,
confession,
extraconj,
Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe
... ma jupe, et je fais glisser ma culotte aux chevilles. Je me retourne, lui passe la culotte blanche devant le nez, m’accroupis face à lui et commence à lui titiller le gland du pointu de la langue. Ce que je n’ai jamais osé faire à mon mari me semble une évidence avec Nicolas.
Je le suce maintenant ; sa voix est plus hachée, mais il continue sa discussion. De ma main valide, j’ai glissé mon majeur dans ma chatte, et avec deux autres doigts j’écarte doucement les lèvres humides. Dans l’excitation, j’avais oublié que j’étais en période de règles, qui sont très légères chez moi, mais je sens la ficelle. Petit coup de blues ! De sa main libre, il réagit enfin et me saisit un téton à travers mon tee-shirt. Je ne sais pas comment il a fait, mais d’une main ferme il m’a redressée et je suis maintenant à quatre pattes à côté de lui sur le canapé, lui une main sur le téléphone et l’autre en train de vouloir fouiller ma chatte.
Je m’esquive, je crois qu’il a compris. Sa bite a pris maintenant de bonnes dimensions et je peine à l’avaler. Son doigt a glissé et se pose maintenant sur ma rondelle palpitante. D’un mouvement sec, je m’enfonce deux phalanges dans le cul et sa queue dans la gorge. J’ai gagné : il dit à son interlocuteur qu’il a un double appel et le rappellera plus tard ! Il lâche son smartphone, m’attire à lui en glissant sur le côté, et nous nous retrouvons dans un 69 acrobatique. Sa langue est une vraie tuerie. Je jouis comme une affamée et le suce à me décrocher la ...
... mâchoire.
— Viens dans la chambre, lui dis-je, j’ai envie que tu me prennes !
Il hésite un moment. Je sens son inquiétude, mais je vois aussi son envie.
— On ne dira rien à personne ! Je te le promets ! Ce sera juste un jeu entre nous.
Je le prends par la main et l’entraîne dans la chambre conjugale. Au moment où il me jette sur le lit, je pense qu’il faudra que j’aère et lave les draps. Mais ces considérations ménagères s’estompent vite au profit du diablotin.
Nicolas m’a positionnée à quatre pattes ; j’ai l’impression qu’il aime bien mes fesses, et il me bouffe le cul ! Il se place maintenant derrière moi. Avec ses deux pouces, il me dilate l’anus. Il a bien compris qu’aujourd’hui il n’aurait pas mon vagin. Et cela m’arrange, car j’ai le sentiment étrange que mon vagin est réservé à mon mari. Je me laisse aller à mon plaisir anal.
— Sodomise-moi maintenant, s’il te plaît ! Viens !
— C’est ce que tu veux vraiment ? me dit-il.
Je note que ce sont les premiers mots qu’il prononce depuis la fin de sa conversation téléphonique.
— Oui, viens ! Encule-moi !
Son gland est énorme mais mon envie est immense. Je sens sa queue au fond de moi, j’ai des éclairs de plaisir et de douleur dans la tête. J’ai envie qu’il aille profond, qu’il accélère, qu’il me déchire. Il me lime pendant de longues minutes ; je suis sa chose, sa pute, je m’écarte les fesses pour qu’il aille encore plus loin. Ses coups de boutoir sont si violents, si précis, si bestiaux… Mon dos me ...