1. Traitement post-traumatique


    Datte: 22/02/2019, Catégories: fh, hplusag, amour, Masturbation Oral fdanus, jeu, confession, extraconj, Auteur: DuranDuran, Source: Revebebe

    ... parle un peu à la piscine de nos accidents respectifs, chute à moto pour lui, mais rien de très subversif. Éric, mon kiné, trouve que j’ai un corps ultra ferme et des fesses terriblement agressives. C’est vrai que j’essaie parfois des positions d’étirement qui dépassent le cadre thérapeutique, mais rien n’y fait. C’est la dernière séance pour Nicolas ; je tente une dernière manœuvre en l’invitant à prendre un verre à la fin de sa séance, mais il refuse poliment. Tristement, je lui dis que nous nous reverrons peut-être au bord du fleuve où je vais marcher tous les jours entre midi et deux… Il opine de la tête et s’en va. Ce soir-là, j’ai pleuré doucement. Ces larmes retenues sont les plus douloureuses.
    
    Quelle ne fut pas ma surprise, trois semaines plus tard, alors que je marchais sur les quais avec mon amie Julie, d’entendre derrière moi une voix grave :
    
    — Coralie, bonjour !
    
    Je me retourne et vois Nicolas sur un beau vélo hollandais.
    
    — Vous vous souvenez de moi ? C’est Nicolas, le motard.
    — Mais bien sûr, Nicolas. Évidemment ! Vous avez l’air d’aller mieux.
    — On fait aller.
    — Je vous présente Julie, une amie.
    — Bonjour, dit-il en lui tendant la main.
    — Et vous accepterez un verre ce coup-ci ? lui dis-je en souriant.
    — Et pourquoi pas ? Très volontiers.
    
    Julie nous abandonne, prétextant un rendez-vous chez son coiffeur, et je vois le regard de Nicolas se poser sur les très jolies fesses de mon amie qui s’éloigne.
    
    J’habite près du fleuve et, une fois le ...
    ... vélo rangé, Nicolas me suit dans la maison. C’est incroyable comme cet homme me fait envie. Je me découvre des envies effroyables de sexe qui, à la fois, m’effraient et me fascinent. J’ai toujours beaucoup auto-analysé mon comportement ; je me connaissais très flegmatique, très retenue, et je me découvre très excitée. Est-ce les quarante ans, la frustration, la blessure ?
    
    Je sers un verre à Nicolas, et assis l’un contre l’autre nous parlons de choses et d’autres, surtout des patients du kiné que nous côtoyons souvent. Son téléphone sonne. Il me fait un petit signe pour s’excuser et répond. La conversation porte sur son travail : il semble régler les détails d’une négociation à venir, et les termes techniques s’enchaînent. J’ai envie de le taquiner.
    
    Je pose ma main – la valide – sur sa cuisse. Après un léger tressaillement et un léger regard interrogateur, il continue sa discussion. Bref, le goujat typique ! Je pousse plus avant ma caresse, et remonte lentement sur son short. Il se laisse faire. Mes hormones sont en folie, je suis hors de contrôle. L’ange qui me dit que ce que je fais est mal vis-à-vis de ma morale et de mon mari est étouffé par le diablotin qui m’encourage à continuer ma visite. Ma main est maintenant sur la bosse de Nicolas, qui continue à parler comme si de rien n’était. J’ouvre sa braguette et sors un engin encore au repos bien plus impressionnant que celui de mon mari. Il ne réagit toujours pas. Je pousse mon avantage. Je me lève, me tourne, soulève ...