Toutes les femmes s’appellent Marie : Marie Hélène
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Yan Loutort, Source: Hds
... nouveau ma sève monter. Je me penche, la redresse contre moi et j’attrape ses tétons.
Dès que je les triture un peu elle jouit à nouveau rapidement. Bien planté en elle j’éjacule à nouveau dans sa chatte. Nous sommes tous les deux « crevés » par ces deux orgasmes et on s’effondre sur les draps pour récupérer. Marie a du mal à retrouver son souffle, pourtant c’est elle la sportive. Elle se pelotonne contre moi. C’est assez attendrissant de voir le grand corps musclé de cette femme à la tendance homosexuelle prononcée, se coller à moi comme une petite fille heureuse.
Alors que nous récupérons, j’en profite pour la caresser. Là aussi c’est curieux comme sensation. Ses cuisses sont dures comme celles d’un homme. Ses tétons très bruns réagissent tout de suite et se tendent. On s’embrasse, on se cajole, on se caresse, bref on est bien. Je demande à Marie Hélène ce qui s’est passé avec Marcel :
« Il s’est pointé en caleçon et « marcel »
Oui ! J’étais mort de rire en le voyant quand je suis parti sous la douche.
Il aurait mieux fait de faire comme toi ! Il puait la transpiration !
L’émotion sûrement !
Oui, une émotion qui l’empêchait de bander ! J’ai failli ne pas trouver sa bite sous son gros ventre et au milieu de poils !
Moi aussi je suis poilu.
Là où il faut oui, mais ta bite et tes couilles sont toutes lisses, c’est vachement bien d’ailleurs !
Tu aimes ?
Oui. C’est la première fois que je vois un mec qui s’entretient comme ça. Enfin… Je n’ai pas ...
... beaucoup d’expériences non plus…
Et alors, tu l’as jeté ?
Non ! Comme je t’ai dis, je pensais que je devais le « récompenser » de son aide. J’ai commencé à le branler. Voyant que rien ne venait, je me suis déshabillée, j’ai même essayé de le sucer… enfin… tu vois…
Oui, je vois ! Tu le fais d’ailleurs très bien !
Merci. Mais avec toi, j’aime… Donc lui, il a été finalement si vexé de ne pas bander, qu’il a remballé son sifflet et il est reparti en bougonnant.
J’ai vu ! Il était couché quand je suis sorti de la douche et il râlait tout seul en te traitant de salope ! La suite tu connais. C’est vraiment atroce comme il ronfle !
Tant mieux ! Puisque c’est ça qui t’a fait venir dans ma chambre ! Enfin…. C’est ce que tu dis ! Tu avais peut-être une petite idée toi aussi ?
Franchement, non ! Je t’avais cataloguée lesbienne, donc je n’aurais rien à tenté envers toi. Je cherchais simplement à dormir. A ce moment-là j’étais vraiment fatigué !
Pour quelqu’un de fatigué, tu assures pas mal mon salaud ! »
A ce moment, son téléphone vibre sur la table de nuit. Je suis le plus près. Je m’en saisi et vois sur le cadran que c’est son amie Maïté, aussi je décroche.
« Allo Chérie ! Dit-elle
Ce n’est pas ta chérie, c’est Jean. » Marie tente de me prendre le mobile mais je l’en empêche.
« Que… Mais… Je… Il se passe quelque chose ?
Oui ! Ta chérie est en train de récupérer après que je l’aie baisée deux fois
Je… Mais…
Tu sais quand même que ça lui arrive ...