Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine - Histoires de Sexe

Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine

... ta queue à l’air, ma belle.

Je m’exécute, l’air effarouché comme une jeune pucelle. Je ne peux pas masquer plus longtemps mon érection à être dominé par une femelle en rut.

— Mais c’est qu’elle bande, cette petite pute… Prends ta bite en main et branle-toi. Assieds-toi au bord de la baignoire ; écarte bien tes cuisses et astique-toi bien le manche. Je veux te regarder.

Je ne reconnais plus Marie, mais je suis au paradis. Pendant que je m’exhibe devant elle en me branlant et en écartant mes cuisses, elle se déshabille lentement. La fente de son sexe rasé brille de son jus. Elle s’enfonce entièrement une main dans la chatte.

— Regarde, ma petite pute, comme tu me fais mouiller ! Tu vois ma main qui défonce ma petite chatte et comme je jute ? Tu veux goûter ?

Elle me présente sa main engluée de mouille qu’il me faut lécher. Son jus salé m’électrise ; j’obéis à cette salope en rut. Je m’enivre de l’odeur de pisse que dégage ce liquide aphrodisiaque. Ma queue est tendue à l’extrême ; ce n’est pas la femelle qui m’excite, mais le traitement qu’elle me fait subir, la soumission qu’elle m’inflige.

— Pas tout pour toi : moi aussi j’aime mon jus.

Elle passe sa langue sur ses doigts et se délecte de sa mouille. Je continue de m’astiquer, mais je sens que c’est inutile, tellement je bande.

— Arrête de t’astiquer, beau mâle. Allez, mets-toi dans la baignoire et allonge-toi ; je vais m’occuper de toi.

La queue à l’horizontale, j’enjambe la baignoire. Une fois ...

... couché, Marie se place au-dessus de moi jambes écartées ; j’ai sa chatte ruisselante à quelques centimètres de mon visage. La salope s’ouvre la fente, et un jet d’urine vient m’inonder.

— Ouvre ta bouche ! me crie Marie. Prends ma pisse !

Son urine, douce et tiède, s’écoule sur moi. J’ouvre la bouche et goûte ce délicieux nectar ; je ferme les yeux pour humer ce parfum aphrodisiaque. Cette punition est d’une intensité inimaginable. Je ne peux résister à l’envie de boire à la source : je plaque mon visage sur sa chatte, et sa pisse me souille entièrement. Marie est elle aussi électrisée par cette douche dorée qu’elle m’offre. Elle tarde à reprendre ses esprits mais retrouve vite son ton autoritaire :

— Ma petite pute adorée, tu m’as chauffée, tu sais… Allez, mets-toi debout que je te rince ; tu sens l’urine comme une vraie femelle. Maintenant, mon cœur, je te veux sans un poil. Alors, un peu de crème épilatoire et tu vas avoir une belle peau de fille. Tu veux bien être une jolie fille ? Et une jolie fille, tu sais, ça peut séduire de beaux hommes. Et toi, tu veux être séduite pas un bel homme, non ?

Je commence à entrevoir mon avenir, et il me semble radieux. Ma maîtresse prend une bombe de crème épilatoire en spray et me recouvre de mousse du cou jusqu’aux pieds, n’épargnant que la tête. Produit efficace, car au bout de quarante-cinq secondes je ressens une chaleur intense sur tout le corps.

— Ne bouge pas, chérie, tu vas être belle…

Après cinq bonnes minutes, ...