Chaude soirée chez mon beau-frère et sa copine
Datte: 22/02/2019,
Catégories:
fhh,
hbi,
alliance,
hépilé,
hsoumis,
fdomine,
hdomine,
humilié(e),
Voyeur / Exhib / Nudisme
hféminisé,
Masturbation
rasage,
Oral
fist,
hdanus,
hgode,
hsodo,
sm,
attache,
fouetfesse,
Gay
hsoumisaf,
Auteur: Paradishommes, Source: Revebebe
... défies qui ?
— Luc.
La partie se déroule gentiment, l’alcool aidant. Nous reprenons les chansons qui défilent sur la chaîne. Marie n’a pas fait d’erreur ; Luc et moi en avons déjà fait deux, et j’attends la fin proche avec délectation. Luc remplit les verres dès que leur niveau baisse. Marie chante et danse à chaque titre. Son déhanchement mime l’acte d’amour ; elle frotte son entrejambe sur tout ce qui se trouve à sa portée, que ce soit un fauteuil, un coussin ou son homme. Elle semble électrisée par ses sens. Comme une chienne, elle est en chaleur et veut du cul ; elle veut baiser et se faire baiser. Luc, qui la connaît parfaitement, le sait. Il sait qu’il faut la laisser faire selon ses pulsions. Lui aussi est terriblement excité. La preuve, il se caresse la tige à travers son jean. Et lui aussi, à son tour m’excite sans le savoir. Je mate du coin de l’œil la bosse du pantalon.« L’enfoiré, pourvu qu’il s’occupe de moi aussi… » Je ne crois pas si bien dire… C’est Marie, un peu pompette, qui reprend la main du jeu :
— Mon petit pédé préféré, un défi, allez…
Je reconnais instantanément le chanteur Mika dans un titre très chaud,Boum boum boum. Il ne me manque plus qu’à jouer les idiots en annonçant une date erronée.
— Je sais, crié-je, c’est Mika, et c’estBoum boum boum. De… de… Ce n’est pas vieux, ça aussi ; je dirais, euh… 2010.
Marie saute de joie en criant :
— Perdu, perdu, perdu !
— Zut !
— Allez, un gage ! Un gage ! Un gage !
— Et moi, s’inquiète ...
... Luc, je n’ai pas de gage ?
— D’abord, je m’occupe de mon petit pédé préféré ; et après c’est ton tour, mon chéri. D’ac ? Allez, fais les niveaux. Et toi, Micka, suis-moi.
Je sais ma belle-sœur assez salope pour élaborer un scénario très hot, et je m’en remets à sa perversité.
— Toi, dit Marie en s’adressant à Luc, tu restes là et tu te chauffes bien car je te faire un beau cadeau. Nous, on va se préparer dans la salle de bain. À tout à l’heure. Viens avec moi, mon petit joujou.
Je suis Marie, excité par le sort qu’elle me réserve. Arrivés dans la salle de bain, elle change d’attitude. Est-ce un jeu, ou bien ses pulsions de dominatrice s’enflamment ?
— Voilà : ce soir, tu vas m’obéir totalement. Tu vas être mon soumis, tu vas m’appeler « Maîtresse ». Je vais faire de toi ma petite pute ; une vraie femelle. Si tu ne veux pas jouer avec moi, tu me le dis maintenant, sinon tu es à moi pour la soirée. J’attends ta réponse.
Le moment que j’attendais tant est enfin arrivé. Je vais devenir sa chose, et j’espère ainsi qu’elle m’offrira à son amant. Je joue le jeu en répondant timidement :
— Ben, oui…
— Je n’entends pas ! hurle-t-elle. Plus fort !
— OUI !
— Oui qui ?
— Oui, Maîtresse.
— Bien. Fous-toi à poil.
Maladroitement, je commence par mon sweat, puis mon jean glisse jusqu’à mes pieds. Elle plaque violemment sa main sur mon sexe en enserrant ma colonne.
— Et ça, tu veux le cacher ?
— Non.
— Non qui ?
— Non, Maîtresse.
— Allez, retire-moi ça et mets ...