Je m'installe avec Evelyne
Datte: 21/02/2019,
Catégories:
jeunes,
Inceste / Tabou
amour,
volupté,
69,
Auteur: Benoberna, Source: Revebebe
... avait toujours été le nôtre, d’être ensemble mais nous sentions bien qu’il n’en était que plus fort du fait que nous n’étions plus que deux à le partager.
— Si nous vivons ensemble, nous allons devenir un couple ? me demanda-t-elle.
Je ne répondis pas.
— Nos parents ne vont certainement pas apprécier cette situation, un cousin et une cousine ensemble, ça n’est pas conforme à la morale, ajouta-t-elle.
La morale, il y avait longtemps que cette notion, tout au moins pour ce qui concernait nos relations, n’avait guère de sens.
— Nous ne sommes pas un couple, puisque nous n’avons pas de rapports sexuels aboutis. Nous pratiquons des jeux érotiques qui ont évolué avec le temps, mais nous n’avons pas des rapports de couple, lui dis-je, espérant la réponse que déjà je devinais.
Le silence se réinstalla et tous les souvenirs de cette soirée défilaient dans ma tête, et sûrement aussi dans celle de ma cousine, le fond d’amertume mais aussi les instants volés avec Evelyne, Martine ou Marie-France. Et tout doucement, je sentis que ces images auraient sans tarder un effet non déplaisant sur cette partie de moi dont Evelyne venait de découvrir le goût. Elle s’en rendit compte, sans seulement me regarder, nos mains ne s’étant pas quittées et nos yeux n’ayant pas quitté le plafond. Toujours cette relation électrique qui nous unissait.
Elle lâcha ma main et posa la sienne sur ce qu’elle avait deviné être à nouveau disponible. Nous restâmes ainsi un moment, moi tendu comme ...
... un arc, elle me tenant simplement sans bouger. Puis elle se tourna vers moi qui ne bougeais pas, passa une jambe par dessus mon corps et se coucha sur moi, mon sexe entre nos deux ventres, bougeant tout doucement. Elle se souleva légèrement, ne quittant pas mes yeux, attendant un encouragement, redoutant un refus en prenant appui sur ses mains. Ceci eut pour effet de faire se redresser mon érection qui ne quitta pas le contact avec le corps de ma cousine.
De faibles mouvements nous amenèrent à ce que je sente maintenant ses poils et sa chaleur humide au bout de mon sexe. Ses yeux toujours plantés dans les miens, elle résista un long moment à l’envie qui était la sienne de se laisser tomber d’un seul coup. Nous vivions un moment intense et unique, et nous en avions conscience. Nous ne devions pas le gâcher en nous précipitant. Nous n’étions plus des ados, nous avions déjà eu chacun notre part de plaisir aujourd’hui, aussi pouvions-nous prendre notre temps. Ah ce regard ! Je crois que je ne l’oublierai jamais. Que tu étais belle, ma cousine, ivre du désir de me recevoir en toi. Un léger mouvement de ton bassin me fit sentir que j’avais commencé à te pénétrer. Ta douce chaleur humide enveloppait mon gland et, millimètre par millimètre tu poursuivais ta descente qui me parut durer une éternité. J’avais l’impression de m’enfoncer dans du velours tellement tu étais douce. Et cette chaleur qui, comme un gant, me recouvrait et m’électrisait ! Et tes yeux qui ne me quittaient pas ! ...