Je m'installe avec Evelyne
Datte: 21/02/2019,
Catégories:
jeunes,
Inceste / Tabou
amour,
volupté,
69,
Auteur: Benoberna, Source: Revebebe
Tous les invités se dispersaient. Nous nous embrassions, Marie-France et son mari, Martine et son copain et nous voilà seuls, Evelyne et moi, dans la voiture qui nous ramène vers la maison de notre enfance. Nous avions tous les deux conscience qu’une page venait de se tourner, que plus rien ne serait comme avant et, déjà, nos deux cousines nous manquaient. Après un long moment de silence nous parlâmes de l’avenir, de Marie-France mariée, de Martine, non mariée mais casée, car son couple semblait durer et de nous deux. J’annonçai alors à Evelyne que je venais d’être muté dans la ville où elle travaillait.
— Viens habiter à la maison, j’ai de la place et je suis seule depuis un bon bout de temps.
J’avoue que, lui disant ceci, j’attendais un peu cela. Il ne me restait qu’une cousine, aussi avais-je envie de m’en rapprocher. Puisque nous étions d’accord, nous ne dîmes plus rien jusqu’à la maison. Vite déshabillés, nous plongeâmes sur le lit, fatigués et un peu tristes. Mais voyant le désordre pilaire de ma cousine, j’eus soudain envie de goûter à ce sexe qui, des trois cousines, m’était le seul inconnu. Notre règle, les quatre cousins, était simple : pas de traitement de faveur pour l’une ou pour l’autre. Puisque j’avais léché les deux autres, et qu’elle le savait, il était évident qu’Evelyne était d’accord. Pour la forme, je lui demandais :
— Veux-tu dormir de suite ?
— Sûrement pas, tu as une dette envers moi, j’attends !
Je m’allongeais alors sur le dos, lui ...
... demandant de prendre l’initiative. Elle ne se fit pas prier, posa un genou de chaque côté de mes épaules et, se baissant, son sexe humide vint s’écraser sur mon visage. L’odeur me donna une sorte d’ivresse, surtout lorsqu’elle entreprit de se balancer d’avant en arrière, ma langue dans les poils et entre ses lèvres, mon nez frottant son clitoris. Continuant ce manège, elle se pencha en avant et je sentis ses cheveux sur mes cuisses et sa langue agacer le bout de mon sexe qu’elle finit par prendre entre ses lèvres et à faire glisser tout doucement. Elle s’écrasa d’un coup sur mon visage, vaincue par un violent orgasme, continuant à me sucer et recevant bientôt une éjaculation qui me donna des frissons. Nous restâmes ainsi de longues minutes, moi respirant son intimité, léchant tout doucement ses lèvres, elle, me gardant dans sa bouche, totalement ramolli, sans bouger. Nous respirions profondément. Nous étions bien. Tout simplement. Il fallut bien bouger car nous nous engourdissions.
— Ouah, cousin, que c’était bon !!
— On va habiter ensemble et je n’aurai plus à te partager. Tu dormiras toutes les nuits avec moi.
L’idée n’était pas faite pour me déplaire car, même si je n’avais pas de préférence entre les trois cousines, Evelyne m’était sûrement la plus proche et, inconsciemment je pense, nous avons tout fait pour que la décision que nous venions de prendre s’impose naturellement. Couchés sur le dos, main dans la main, nous ne disions rien. Nous savourions le plaisir, qui ...