Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir ! - Histoires de Sexe

Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir !

... j’en enduisis le petit trou de ma femelle qui s’était remise en position, son adorable cul en l’air, cambrée à fond, le buste sur le lit, cuisses écartées pour me laisser tout le passage. Comment vouliez-vous résister ? Un de mes doigts pénétra l’orifice facilement, faisant gémir ma voisine.

— Enfonce le gode dans ton cul, Christelle !

Je retirai mon index, remis une larmichette de lubrifiant et fis peser mon gland sur l’anus offert.

— Nnnnooooooooonnnnnnnnnnnnn !
— Que se passe-t-il ?
— Rien, chéri, je ne veux pas jouir tout de suite.

Christelle tendit plus encore son postérieur pour faciliter la pénétration ; je poussais, mon gland passant avec un peu de difficulté. Elle cria un peu douloureusement :

— Ahhhhhhhhhhhhhhhh !

Je restai dans la position en lui caressant les fesses et les hanches.

— Alors ?
— J’aime avoir une bonne bite dans mon cul…

« Elle est vraiment trop top, cette voisine ! » Je fis pénétrer mon engin à moitié ; je serrais tout ce que je pouvais pour ne pas émettre un son.

— Ça rentre… Ooooohhh, ça rentre bieeeeeennnn !
— Hummmm !

Le cocu poursuivit :

— Il en est où ?
— À moitié.
— Fourre-le-toi en entier !

Je poussai alors et m’introduisis complètement.

— Ooouuulah ! Aaaaaaah… je… je… Il m’explooooooose !
— C’est bien, petite pute. Maintenant, fais-le coulisser du gland jusqu’à la garde !

Je commençai à m’activer dans le fondement de ma voisine, d’abord par petits coups puis sur toute la longueur. Christelle ...

... ahanait sous mon va-et-vient :

— Haoui !… Haoui !… Haoui… Haooui… Haooouii… Haaooouuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii… !
— Tu aimes te faire défoncer… Tu te prendrais n’importe quelle bite dans le cul, hein, salope !
— Tu es fou, nooooonnnn !
— Je suis sûr que tu aimerais une grosse queue inconnue, traînée…
— Ooooooooh ! Nooooonnnn !
— Dis-le, salope, dis-le-moi, tu aimerais !
— Oh nooooooooonnnn !
— DIS LE, sale pute !

Elle se lâcha :

— Oui, j’aimerais me faire enculer par une bonne grosse queue…

L’homme reprit :

— Je suis sûr que, par exemple, celle de ton voisin du dessous te plairait. Je suis sûr qu’il est monté comme un taureau.

Merci pour le compliment ! Les mots me firent redoubler d’efforts ; je pilonnais Christelle consciencieusement.

— Tu es complètemeeeeent diiiinnnngue ! Ooooohhh, c’est booooonnnn !
— Dis-le, bordel, dis-le, espèce de bouffeuse de bites !

On nageait dans l’irréel ; ma queue semblait se gonfler encore plus.

— Ouuuuiiiii, salaud, il a une grosse bite ! Je la veux dans ma chatte, je veux sucer son engin, avaler son foutre ! Je veux qu’il m’encule à fond !

Grosse excitation perceptible à l’autre bout du fil :

— Salope ! Grosse pute ! Tu n’es bonne qu’à ça, j’en étais sûr !

J’étais dans un état d’excitation incroyable ; la tenant par les hanches, je bourrais ma femelle de plus en plus fort. Elle criait et s’agitait comme une folle, grognant en me suivant en rythme avec son bassin.« Putain, que son cul est bon… » Je le ...