Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir ! - Histoires de Sexe

Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir !

... genoux de Christelle sur mes épaules, enserrant ses cuisses dans mes bras. J’aime bien cette position, et ma femelle qui avait des envies de soumission devait l’apprécier aussi : impossible pour elle de s’échapper et de se soustraire à une pénétration certaine. Je regardai le joli visage de ma conquête, marqué par un désir d’abandon lubrique. J’approchai le bout de ma verge de l’entrée de son intimité que je caressai du gland. Se contorsionnant, ma partenaire saisit la tige, essayant de la forcer à la pénétrer. Je réitérai :

— Alors, tu crois être suffisamment bonne pour recevoir ma queue, salope ?

Je m’étonnais moi-même de mes mots ; mais vu la réponse… Elle grogna, me regardant droit dans les yeux :

— Ouuuuiiiii ! Je la mérite ! Je la veux en moi ! Allez-y, prenez-moi comme une chienne ! Enfoncez bien votre bite, je veux la sentir, je suis à vous complètement, oui, je suis votre… votre pute !

Je me dis que cette voisine était quelque peu nymphomane ; son mari avait raison de s’inquiéter. Peu importe… Répondant à l’invitation, je pénétrai peu à peu la grotte lubrifiée et brûlante de Christelle qui se lâcha encore une fois, bougeant son bassin afin d’engloutir ma bite :

— Aaaaaahhh ! Qu’elle est bonnnne, ouuuuiiiii elle est boooooonnnne, elle est groooosssseee, ooooohhh je la sens bbbiiiiieeeeen ! Allez-y ! Allez-y ! Ooooooooh ! Queeeellllle biiiiiiiiite !

Ses mots me firent de l’effet ; je crus alors être monté comme un âne. La fièvre m’investit. Sans ...

... précaution, Je m’enfonçai encore plus dans sa chatte et je commençai à la bourrer comme un soudard. Lui lâcher des propos orduriers était devenu naturel ; et comme cela semblait la faire mouiller…

— Tu le sens mon braquemart, salope ? Tu la sens bien, ma bite ? Elle est meilleure que celle de ton mec, espèce de pute ?
— Ooooouuuuiiiiii, je la sens bieeeeeennnn ! L’autre cocuuuuuuu, il neeeeee m’a jamaaaaaiiiiiiiiiss baisééee comme ça ! Votre queue est bien plus groooooosssssee ; putain, qu’elle me bourre bieeeeeennnn !

Je tentais de penser à autre chose, ne voulant pas me vider en elle tout de suite. Christelle sursauta :

— Ooooouuuuuaaaaaaahhhhh, je viens, je v… Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhh, ooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

La jeune femme suivait la cadence imposée.

— Maintenant, Christelle, tu es bien à moi. Tu sens ma queue qui te tringle comme une belle salope que tu es ? Tu aimes tromper ton cocu de mari ? Hein, sale pute !

Elle hurla :

— Il est bien cocuuuuuuu ! Oouiiiii ! Mais avec votre biite, votre bbiiiiiiite !

Ma partenaire fut prise de mouvements désordonnés, et le siège d’un un orgasme incroyable. Encore quelques soubresauts, puis le calme. Christelle respirait comme une bête de trait. Entre deux souffles :

— Qu’est-ce que vous m’avez mis, ooooaaaa ! Mais qu’est-ce que vous m’avez mis ! Et vous n’avez encore rien craché, incroyable. Ce n’est pas l’autre qui m’aurait labourée comme ça !

Des compliments, ça ne gâche ...