Ne jamais oublier de mettre de l'ordre avant de partir !
Datte: 20/02/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
vengeance,
Oral
préservati,
fdanus,
fsodo,
coprolalie,
Auteur: Epistolero, Source: Revebebe
... de plus que ma voisine, le corps de cette dernière et l’empilement m’empêchaient à mon tour d’atteindre la machine. Mais je le savais. Un désir impérieux m’avait investi. Je voulais sentir la croupe de la jeune femme contre moi. Quelle belle occasion…
Le contact fut accompagné d’un frisson mutuel. Mes mains, mécaniquement, rejoignirent les hanches de ma voisine pour doucement les caresser.
— Que faites-vous ? Ne faites pas ça ! Je ne veux pas, arrêtez ! Et puis, mon mari pourrait arriver !
Menteuse, va ! Je sentais bien que le contact ne lui était pas indiffèrent. Le regard de tout à l’heure, un certain abandon de son corps, la chaleur qui s’en dégageait, tout disait « oui ! ». De mon côté, l’excitation était bien là, ainsi qu’une érection que ma voisine devait bien ressentir à travers mon short et son jogging.
— Non, non, ce n’est pas bien de faaaiiire ça, je… je suis mariée, je… je ne peux paaaas !
La sentant mollir et s’abandonner, je dirigeai mes mains vers ses seins et en pris possession. De toute évidence, pas de soutien-gorge. Elle eut un dernier sursaut, essayant de retirer mes mains de leur cible. Je collai encore plus au corps que je désirais, faisant peser ma virilité sur les fesses de la jeune femme qui fut parcourue par un frisson. Elle répéta trois fois un « non » de plus en plus faiblement.
— Vous voyez, vous en mourez d’envie vous aussi…
J’utilisai ce début de capitulation pour la défaire de sa veste, dégageant ainsi ses seins, me ...
... permettant de prendre les tétons entre mes doigts. J’en profitai pour lui embrasser les épaules et le cou maintenant dénudés ; sa peau était délicatement parfumée et douce. En lui caressant de la bouche le lobe de l’oreille gauche, je lui dis, doucement:
— Vous êtes belle… J’ai envie de vous et de votre corps, et je sens que vous n’êtes pas indifférente à cette idée.
— Je… je… Nooooonnnn…
Contredisant ses mots et faisant montre de son abandon, la jeune femme rejoignit mon érection en tendant ses fesses lascivement en arrière plus intensément.
— Je m’appelle François ; et toi ?
Elle répondit dans un souffle :
— Ooouui, je… Je sais, la boîte aux lettres… Christ… Moi, c’est… Christelle…Ooooohhh !
La sentant au bord de la capitulation, je me dégageai de la jeune femme, la retournai doucement et la soulevai pour l’asseoir sur un bout de paillasse libre. Je la regardais, ses seins nus en forme de poire, superbes, tétons dressés. J’en pris possession avec ma bouche, pliant un peu les genoux. Christelle poussa des petits cris de chienne en rut, ce qui m’excita davantage. Les tétons gonflés durcirent encore plus sous mes caresses. Je la tenais d’une main par une hanche tandis que je lui caressais le cou et une joue de l’autre. Christelle saisit celle-ci et engloutit le pouce dans sa bouche, mimant une fellation. Je me redressai pour l’admirer. Ses yeux dans le vague, sa bouche gonflée étaient une invitation. Je m’approchai ; ma langue remplaça le pouce entre ses lèvres ...