1. Le docteur Robert Shank


    Datte: 19/02/2019, Catégories: ffh, frousses, nympho, Voyeur / Exhib / Nudisme Humour sf, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... processus chimiques du fonctionnement de vos corps ont effectivement pour base des interactions électriques mais nécessitent des catalyseurs protéiniques sur lesquels nous ne pouvons agir.
    — Ah ? fis-je, bienheureux de cette aimable réponse.
    
    Je regardai à nouveau le cadavre avant de reprendre :
    
    — Mais on va pas le laisser là, sinon je vais avoir des emmerdes avec les flics, moi. Y a une dizaine de témoins qui nous ont vus ce soir, et puis j’ai brillamment téléphoné chez lui avant qu’on vienne…
    — Vous voulez dire que vous craignez qu’on vous impute sa désactivation ?
    — Ouais ! Vous, il peut sans doute rien vous arriver, mais moi, je veux pas finir en taule !
    — Ce châtiment me paraît improbable ; je ne crois pas qu’il soit possible d’obtenir le moindre métal solide à partir de vos atomes constitutifs.
    — Ah, moi aussi, je vous aime bien… Mais là, j’ai pas trop le cœur à rire ! En taule, ça veut dire en prison. C’est ce qui m’attend dès que quelqu’un aura trouvé le corps…
    — Vous souhaitez que nous fassions disparaître le corps ?
    
    Je réfléchis rapidement.
    
    — Oui. Allez-y. Mais avez-vous mémorisé son apparence ? Pour le cas où j’aurais besoin qu’il réapparaisse ?
    — Oui.
    
    Ils s’approchèrent du cadavre et à nouveau, lui lancèrent quelques éclairs. Le corps parut exploser, comme les leurs pendant un orgasme, mais en particules plus petites encore, ...
    ... presque invisibles et non lumineuses, qui flottèrent un instant dans la pièce avant de disparaître définitivement.
    
    — Retournons chez vous à l’aide de votre voiture, Gufti.
    — Mouais. Ben dans ce cas il vaut mieux que vous repreniez des apparences décentes : d’une part je ne veux pas me voir me promener à côté de moi, et d’autre part personne ne se promène à poil.
    
    Les deux créatures reprirent les apparences diablement belles et excitantes des jeunes femmes que j’avais baptisées Juliette et Éloïse et nous rentrâmes chez moi.
    
    J’avais besoin de repos. Et de détente. Je commençai par expliquer à mes deux compagnes ce qu’était une fellation et les laissai s’exercer un bon moment sur ma personne. Mais elles finirent par m’avouer qu’elles ne trouvaient pas cela aussi plaisant que de s’accoupler comme nous l’avions fait auparavant dans la soirée. Je me lançai dans une longue diatribe sur le plaisir et l’excitation qu’on éprouvait à faire plaisir ou même faire jouir ses partenaires.
    
    Elles m’écoutèrent religieusement puis décidèrent de couper la poire en deux en continuant de me sucer mais en se doigtant en même temps l’une l’autre. Cela me convenant parfaitement, je les laissais faire et elles me firent bientôt jouir entre leurs lèvres pourtant inexpérimentées. Elles continuèrent de se caresser passionnément à côté de moi tandis que je m’endormais rapidement. 
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