Le docteur Robert Shank
Datte: 19/02/2019,
Catégories:
ffh,
frousses,
nympho,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Humour
sf,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
Résumé : J’ai rencontré deux extra-terrestres surprenants ! Ils sont composés de myriades de grains de lumière tourbillonnants et peuvent prendre n’importe quelle forme, humaine ou non. Ils sont venus sur Terre pour rencontrer un certain docteur Robert Shank. Mais voulant faire un peu mieux leur connaissance avant de les accompagner pour le retrouver, j’ai réussi à les convaincre de choisir chacun l’apparence d’une sublime bombe sexuelle et je leur ai fait découvrir les plaisirs de l’amour physique.
Je ne fus absent qu’une petite dizaine de minutes, mais pourtant quand je revins de la salle de bains, je trouvais les deux sculpturales demoiselles enlacées tête-bêche sur le canapé, en train de se brouter le minou. Je restai quelques minutes dans l’ombre de la porte à les observer s’agiter et gémir sous leurs caresses réciproques, jusqu’à ce qu’elles se désagrègent finalement presque simultanément dans un cri mêlé.
Je revins auprès d’elles juste après qu’elles se furent reformées et rassises toujours nues, côte à côte sur le canapé. Elles m’observèrent d’un air satisfait tandis que je m’approchais :
— Nous avons décidé d’avoir un autre orgasme et avons trouvé une solution pour l’obtenir malgré votre absence.
— Oui, j’ai vu ça… rigolai-je.
J’amenai une chaise et m’assis face à elles.
— Vous avez faim ? Vous voulez manger quelque chose ?
— Non, c’est inutile. Nous produisons notre propre énergie à mesure que nous en nécessitons.
— Ah ? fis-je avec beaucoup ...
... d’intérêt.
— Vous aurez toutefois remarqué, poursuivit l’autre, que lors des orgasmes, et particulièrement ceux que vous avez contribué à nous véhiculer, l’énergie maximale que nous produisons est insuffisante à assurer la stabilité de notre enveloppe chimique.
— C’est peut-être bien pour ça que vous devriez bouffer un peu, non ?
— Cela vous soulagerait-il que nous partagions un peu de nourriture ensemble ? me rétorqua l’une d’elles.
— Non, non, tout va bien, pas de panique ; mais moi j’ai faim, je vais manger un peu.
— Prenez de la liqueur d’homme ! me conseilla l’autre.
Je la regardai en haussant les sourcils. Mais elle poursuivit, argumentant :
— Cela m’a semblé parfaitement adapté à une compensation rapide des pertes énergétiques qui peuvent sub…
— Du calme ! l’interrompis-je. De bêtes fruits feront aussi bien l’affaire.
Je me relevai pour aller chercher une pomme et continuai :
— Eh, au fait, je ne connais même pas vos noms ?
— Nous n’en avons pas.
— Bien, parfait, alors je vais choisir pour vous, d’accord ? Tiens, toi tu t’appelleras Juliette et toi Éloïse, ça vous convient ?
Elles se regardèrent, cherchant à se rassurer par leur incompréhension mutuelle. Je me rassis en mordant dans mon fruit.
— Bon, qui ne dit mot consent… Alors, pour vous reconnaître, euh… tiens, Éloïse, tu vas plutôt choisir des cheveux noirs et des yeux bleus, d’accord ?
Celle que j’avais désignée pour être Éloïse tremblota, puis eut soudain des cheveux sombres mais brillants ...