1. Plage Nette


    Datte: 20/02/2018, Catégories: fh, extracon, fépilée, vacances, Oral pénétratio, extraconj, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... enthousiaste d’aller se repentir, il traverse à pas lents le vaste hall, les voix se faisant plus distinctes.
    
    C’est alors qu’il stoppe sur place, lâchant tout, les bras ballants.
    
    Là-bas, au bar, dans la lumière tamisée, entourée d’une nuée d’hommes très serviables et très captivés, seins nus, un simple collier autour du cou, sa femme !
    
    --ooOoo--
    
    L’explication fut orageuse. Très ! Il y eut une belle animation dans l’hôtel. Pourtant, ce n’est pas la première fois que j’assiste à ce genre de scène, mais celle-ci restera dans les annales ! Incontestablement. À un certain moment, la situation dégénéra tellement qu’un grand Allemand s’interposa pour séparer ces deux-là !
    
    Revenus dans leur chambre, sans mot dire, ils se jetèrent l’un sur l’autre, et firent l’amour avec grand fracas et fureur, l’hôtel subit alors une seconde animation pas piquée des vers ! Ah ! la nature humaine !
    
    --ooOoo--
    
    Elle redescend, laissant son mari complètement épuisé sur le lit. Elle n’était pas tout à fait calmée. Ce crétin, ce con ! Même s’il est un très bon amant, trop même ! Elle ne sait d’ailleurs pas lui résister quand il pose ses mains sur elle… Bon, c’est vrai qu’elle avait un peu abusé en se baladant presque nue, un string riquiqui et un collier pour seuls vêtements… C’est en remontant dans sa chambre qu’elle avait vu ces hommes dans le salon et qu’elle avait eu alors l’idée.
    
    Pourquoi justement cette idée, elle ne pouvait pas le dire. Néanmoins, elle avait bien discuté ...
    ... sous les regards admiratifs et ravis de ces hommes. Un d’ailleurs sortait du lot, à la fois enthousiaste et réservé, cet Allemand qui parlait bien français, ce Gert comme il s’était présenté. Le même qui s’était interposé quelques minutes plus tard quand Lucien s’était pointé totalement furax !
    
    Au même moment, surgissant d’un autre couloir, un grand homme s’avance. Justement lui, Gert. Sans savoir bien pourquoi, elle rougit. Il s’arrête à sa hauteur et lui demande :
    
    — Ça va mieux maintenant ?
    — Oui, ça va mieux. Merci pour votre intervention, monsieur.
    — Gert.
    — Gert ? Bien ? Euh… ah oui, votre prénom ! Excusez-moi, j’ai la tête un peu ailleurs !
    — Je comprends. Si tout va bien, alors tant mieux.
    
    Ils se séparent, chacun allant dans la direction opposée.
    
    Ils ne vont pas tarder à se croiser plusieurs fois par la suite, ça, c’est moi qui en suis sûre, j’ai des milliers d’années d’expérience, vous pouvez me croire. Sans bien comprendre pourquoi, Mélanie se retourne, le regardant s’éloigner. Un doigt sur la bouche, elle s’interroge sur cet homme, sur ce quelque chose qu’il a de différent. Son regard doux et sans critique ? Peut-être… Dans les minutes et les heures qui suivent, il est clair et net que le regard des autres hommes qui se pose et se posera sur elle est nettement dissemblable, un mélange d’envie et de condamnation.
    
    Sans parler de celui de leurs femmes !
    
    --ooOoo--
    
    Mélanie et Lucien évitent d’aller manger en bas, la tension est trop palpable, ...
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