Plage Nette
Datte: 20/02/2018,
Catégories:
fh,
extracon,
fépilée,
vacances,
Oral
pénétratio,
extraconj,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... réconciliation. Mais Dieu que cette Stéphanie est chaude ! Une pure merveille au lit !
--ooOoo--
Totalement énervée, elle marche droit devant. Un bon quart d’heure après, elle s’arrête puis elle s’assied sur un tronc d’arbre. Doucement, elle se calme. Cet endroit lui dit quelque chose. Elle s’aperçoit alors qu’elle est déjà venue ce matin avec Gert. Décidément, les hommes lui bouffent la vie !
En y resongeant, elle a tout simplement refait le même chemin qu’il y a quelques heures, comme ça, machinalement. Elle jette un coup d’œil aux alentours, en murmurant :
— Il ne manquerait plus de le voir surgir !
Mais personne ne vient, nous ne sommes pas dans un roman de gare avec un auteur tout-puissant, capable de vous sortir de son chapeau desdei ex-machina… Quoique c’aurait pu être amusant ; je songe alors à tous ces destins qui auraient pu être modifiés avec un tout petit rien… Elle décide alors de changer d’itinéraire, la marche à pied lui fera du bien, elle lui permettra de se vider la tête, elle en a bien besoin actuellement !
--ooOoo--
Du haut de son balcon, Gert voit au lointain une tache rouge. Aussitôt, il songe à la robe de Mélanie. D’ailleurs, il lui semble bien que ce soit elle, sur le chemin qu’ils ont emprunté ce matin. Il se rue dans la chambre, fouille sa valise et en ressort une paire de jumelles.
Aucun doute, c’est bien elle, toute seule dans le petit bois qui longe la plage. Il se demande s’il doit aller la rejoindre, puis il décide de la ...
... laisser tranquille, même s’il meurt d’envie d’être avec elle.
De temps à autre, il retourne sur le balcon pour observer sa promenade. Une bonne heure plus tard, il la voit revenir vers l’hôtel. Il décide alors de forcer un peu le hasard en allant au-devant d’elle. Advienne ce qu’il pourra !
Et c’est comme par hasard qu’ils se rencontrent dans le grand-hall, près des salons. Il l’invite le plus naturellement du monde à prendre un café, un thé ou une boisson fraîche. Elle en a bien besoin, elle accepte. Ils se retrouvent assis dans l’un des nombreux petits salons, ils parlent un peu de tout, puis soudainement, elle se lève. Il l’interroge du regard, elle écarte une mèche de son front :
— Venez, ne restons pas plantés là. Il y a toute une aile de l’hôtel que je ne connais pas. Si ça ne vous dérange pas, bien sûr.
— Absolument pas.
Le temps passe, lentement, doucement. Ils parlent toujours de diverses choses. Mélanie se doute de plus en plus que le hasard n’y est pour rien. D’ailleurs, lors de son retour, là-bas au lointain, elle voyait bien un homme souvent sur son balcon. Elle n’en mettrait pas sa main au feu ou à couper, mais elle aurait bien juré que c’était Gert.
D’ailleurs, il lui semble bien que son compagnon n’a pas tout à fait la conscience tranquille. Ça l’amuse de le voir si transparent. Il semble même tourner autour du pot. Un nouveau couloir inconnu, personne sauf eux.
Elle s’adosse au mur :
— Gert, vous savez, il est préférable d’exprimer ses ...