1. Les amours mortes (2)


    Datte: 18/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... n’est-il que dans votre main… je vous laisse imaginer ce que vous pourriez ressentir, s’il était en vous… c’est le joujou préféré des dames…
    
    — C’est… cher ?
    
    La brune n’avait pas trouvé d’autre réponse à faire que celle-ci ! Et en face d’elle, le sourire sur le coin des lèvres de la patronne du sex-shop en disait long. Finalement lorsqu’elle sortit de la boutique, Enora avait dans un sachet anonyme deux godes de même texture, mais de tailles différentes et le fameux œuf. L’autre avait si bien su l’embobiner qu’elle avait laissé pas mal d’argent dans son commerce. En remontant dans sa voiture, Enora se traitait déjà de folle, mais bon sang que parfois la folie pouvait avoir du bon !
    
    Elle avait même promis à Anna de revenir lui rendre une autre visite. Le soir de ces achats, dans sa salle de bains, après avoir passé sur chacun des deux godes un préservatif, Enora les essayait. Mais debout les jambes fléchies, la position n’avait rien d’enivrant. Alors elle revint dans son salon, et dans la seule clarté de l’écran de télévision allumé, elle se livrait aux premières tentatives d’intromission. Si le matériau était d’une douceur parfaite, la femme n’arrivait cependant pas à retrouver les perceptions dont elle se souvenait avec le père de son fils. Elle trouva que c’était bien, mais pas suffisamment pour en jouir profondément.
    
    — oooOOooo —
    
    Les vacances de février s’annonçaient enneigées. Evan dans sa chambre travaillait dur. Cette fois la dernière ligne droite de ses ...
    ... études se profilait à l’horizon de l’année scolaire. Les relations entre sa mère et lui étaient revenues au beau fixe. Ils avaient tous les deux oublié au fond de leur mémoire la séance de massage de l’hiver passé. Parfois cependant le garçon revivait la scène en se demandant s’il ne l’avait tout bêtement pas rêvée. Il lui arrivait aussi dans le calme de son lit de se tripoter à la seule évocation du velours des seins de cette femme qu’était sa mère. Mais qu’elle le fut n’avait aucun attrait supplémentaire. Il s’agissait juste pour lui d’une coïncidence.
    
    Cette nuit-là, comme ça arrivait parfois, une mini tempête avec des bourrasques de vent violentes faisait frémir les arbres qui bordaient la maison. Enora n’était guère rassurée. Alors lorsque vers minuit, un craquement sec et sinistre se fit entendre, elle se précipita sur le pas de la porte. Le fracas aussi avait été perçu par son fils qui lui aussi se relevait. Dans l’embrasure de l’entrée, elle cherchait des yeux la cause de ce boucan. Et lui, derrière elle, voyait par transparence, devinait plutôt cet entrejambe que la nuisette vaporeuse cachait. Il était en slip et instantanément, malgré la situation, il bandait.
    
    De l’autre côté de leur propriété, un frêne qui était là depuis des années gisait, couché par le vent. Fort heureusement il n’avait rien abimé chez eux. Demain il serait temps de le découper en morceau. Il n’y avait que des champs et des prés par là. Chacun, sans un mot, mais plutôt apeurés reprenait le ...
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