1. Les amours mortes (2)


    Datte: 18/02/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... sensations sont… délicieuses. Je ne saurais trop vous le conseiller. Puis vous voyez, si vous aimez les gros calibres, vous avez là-bas de très belles reproductions de sexes masculins. Tenez ! Regardez ! Vous voyez, c’est bien imité, qu’en pensez-vous ?
    
    — He… ue…
    
    — Je vois ! Vous aimeriez toucher la matière ? J’en ai quelques modèles analogues de déballés dans mon bureau… vous voulez les toucher ? Alors, suivez-moi.
    
    Pourquoi avait-elle suivi cette femme ? Enora n’en avait aucune idée. Mais elle l’avait fait de son plein gré et était arrivée dans un vrai bureau, avec tout ce que comportait ce genre d’endroit. Spacieux, agréable, aéré et surtout lumineux.
    
    — Je vous offre un verre ? Tenez prenez place, j’arrive.
    
    — … ? Non… pas d’alcool !
    
    — J’ai aussi du café !
    
    La femme dans la lumière était plus facile à distinguer. Aussi grande qu’Enora, elle ne devait pas être plus âgée qu’elle. Par contre sa chevelure abondante virait au rouge. Elle avait quelque chose de beau, et un bagout fascinant.
    
    — Je comprends vos réticences et vos peurs. Je suis la patronne de ce… comment dire, sanctuaire du sexe. La plupart de mes clients sont des mâles et ils ne viennent que subrepticement, donc je me dois de préserver une certaine pénombre… un anonymat dont ils se repaissent. Beaucoup ne veulent que passer un moment et occupent une partie de la journée ma cabine de visionnage, des films porno qu’ils achètent.
    
    — Ah ? Ils n’achètent que des films ?
    
    — La grande majorité ...
    ... oui… et ils les visionnent de suite, tenez, regardez…
    
    Un écran sur le coin du bureau venait d’être mis en route par la rousse. On y voyait le type que la brune avait aperçu se faufilant dans le magasin. L’homme assis sur une sorte de divan, pantalon baissé à mi-cuisse, se branlait frénétiquement devant une scène hallucinante. Deux mecs se suçaient sur un autre écran. Et le mec regardait cela tout en se masturbant. La patronne coupa les images.
    
    — Vous voyez, il en faut pour tous les gouts. Mais tenez…
    
    Anna venait de tendre une tasse à la brune. Puis elle lui versa un café. Et Enora, assise sur une sorte de divan de velours rouge ne savait plus quoi penser. L’autre bougea une fois encore et en revenant s’asseoir près de sa visiteuse, elle lui colla littéralement dans la main un sexe semblable à celui qu’elles avaient regardé de l’autre côté de la cloison. La matière en était étrangement douce, un latex d’une finesse incomparable. La longueur et le diamètre restaient dans des proportions raisonnables. Enfin c’était ce que pensait Enora. Et puis la femme lui montrait un de ces fameux œufs à usage interne.
    
    Elle le mettait en marche depuis son bureau alors que la brune le serrait dans la paume de sa main… et Enora eut la soudaine impression de recevoir comme une décharge électrique. Cette sensation se propageait partout dans son corps et elle frissonnait. Anna suivait ces réactions avec une sorte de malice dans les prunelles.
    
    — Alors ? N’est-ce pas génial ? Et encore ...
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