1. Humiliée vraiment pour un contrôle de la médecine du travail ?


    Datte: 17/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SolangeB, Source: Hds

    ... la phrase que je venais de prononcer. Un de mes phantasme bien plus jeune était d'être maintenue et parcourue par des mains avides de jouer avec mon corps. Et là exposée en petite tenue j'imaginais d'un coup que c'était bien le désir des hommes certainement en face de moi . Mais n'en avais-pas trop fait ...
    
    "Vous ne voulez quand même pas que je demande a ces messieurs de vous tenir pendant que je dégrafe votre soutien-gorge!"
    
    La médecin ne s'attendait à la phrase que je lui lançait dans la foulée :
    
    "Essayez toujours !"
    
    Et elle me prit au mot sortant c'est vrai du cadre de cette consultation qui avait de toute façon trop dérapée à mon goût. Mais là je reprenais la main. Et figurez-vous qu'elle demanda précisément à mes deux collègues ravis de venir me tenir les bras. Et là peut-être à contrecœur car jouant avec ma propre réserve je me suis mis à jouer la comédie.
    
    Alors que les deux , qui s'était précipité, me tenait chacun un avant bras mais se positionnant pour bien mater ma poitrine encore protégée, la doctoresse passa dans mon dos.
    
    Moi je me mis à pleurnicher en me débattant mais pas trop :
    
    "Non pas ça, pas ça , je vous en supplie, pas le soutien-gorge...pas devant eux !"
    
    A la vue de leurs sourires et de ceux des trois encore derrière la table je voyais bien que ça les excitait encore plus.
    
    L'attache de mon soutien-gorge défaite, le doctoresse libéra ma poitrine en tirant le soutien-gorge le long de mes avant-bras , mes seins sortir des bonnets ...
    ... et se balancèrent sous mes contorsions et sous les yeux pétillants des cinq hommes présents à commencer par mes deux collègues qui faillirent même me lâcher devant ce spectacle. J'avais une poitrine bien lourde , certes tombante mais des globes bien ronds aux larges auréoles. Je sentais une excitation piquante dans mon entre-jambe au point que les pointes de mes seins se durcirent aussitôt . J'espérais qu'ils mettent cela sur le compte de la honte plutôt que du plaisir que je prenais a être ainsi partiellement dénudée de force. J'aurais tellement aimé être doigtée par la toubib à ce moment là, toujours maintenue et offrir à ces hommes le plaisir que je sentais imminent sous ma culotte et le collant avec le frottement de mes gesticulations.
    
    Comme Franck à ma droite avança une main pour toucher mon sein, je me cambrai désireuse de sentir cette caresse avide mais la médecin qui me regardai fixement dû comprendre à ce moment là que j'avais joué une drôle de comédie et qu'elle était allée trop loin. En m'humiliant d'abord puis en devenant complice du basculement perverse qui avait été le mien, seule une femme pouvait démasquer ce manège et elle a dû sentit combien j'aurais aimé qu'elle me donne du plaisir devant tous ces hommes, seul excipent à la honte provoquée d'être exposée seins nus et en collants.
    
    "Lâchez-la, nous sommes allées trop loin" voilà ce qu'elle dit puis : "Messieurs je vous demande de sortir, l'examen est terminé, Madame B.... va se rhabiller. Tout ce qui ...