1. Humiliée vraiment pour un contrôle de la médecine du travail ?


    Datte: 17/02/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: SolangeB, Source: Hds

    ... répliqua sur un ton ferme : "je peux comprendre votre embarras, mais cette commission a été élue et mandaté par la direction. Ses membres sont tenus au secret médical ne vous inquiétez-pas !"
    
    "Mais il ne s'agit pas de secret médical mais de dignité de pudeur madame, de plus devant deux collègues " répliquai-je, désignant les hommes en question "je côtoie ces messieurs tous les jours et vous comprendrez qu'il est tout a fait déplacé que je me déshabille même partiellement devant eux !"
    
    La médecin cette fois très énervée me déclara sèchement que je n'étais pas une exception et c'est un des hommes se présentant comme adjoint à la direction du personnel qui me menaça alors à propos de mon emploi. Je connaissais ce cadre de vue, un homme bedonnant dont le visage trahissait surtout l'envie de me voir me dévêtir.
    
    J'ai commencé à paniquer , ne sachant que faire. Et c'est voyant la médecin se lever et venir vers moi en disant fermement : "Assez perdu de temps, je vous demande déjà d'enlever cette robe !" que les larmes aux yeux presque inconsciemment je me mis à défaire le premier bouton de ma robe qui s'attachait jusqu'au col.
    
    Je me souviens que je tremblais nerveusement, évitant de regarder les hommes devant moi, devinant leur satisfaction. J'aurais du refuser et partir. C'était confus dans ma tête parce que je me suis mis à penser à ce que je portait dessous. Comme il faisait froid, j'avais mis un fond de robe plutôt qu'une combinaison. Alors je prenais soin de ...
    ... porter de jolis dessous mais pour mon plaisir et pour entretenir le charme avec mon mari.
    
    Mécaniquement finalement près avoir défait tous les boutons jusqu'à la taille et ouvert le haut de la robe pour la faire glisser à mes pied je sentis que mon fond de robe blanc satiné incrusté de dentelles ne laissait personne indifférent. La doctoresse s'était planté les bras croisés à coté de moi et me jaugeais des pieds à la tête.
    
    Les yeux toujours baissés pour ne pas regarder l'assistance j'entendais le mouvement des chaises comme si les hommes assis devant moi se déplaçaient légèrement pour mieux voir.
    
    Sans ma robe que je tenais encore à la main , je me sentais perdue, dépourvue de toute résistance. Dans me tête je me répétais : tu viens de retirer ta robe devant ces hommes, ce n'est pas possible ! Sans les voir, je sentais les regard appuyés sur ma lingerie qui me moulait au plus prés et j'imaginais que ma poitrine plutôt développée qui tendait la maille satinée attirait toutes les attentions.
    
    Un coup d'œil finalement a l'assemblée me montrait effectivement des hommes goguenards écarquillant les yeux tandis que la doctoresse affichait un sourire cynique. Je voyais bien sûr que ces regards masculins se portait sur les transparence de mon fond de robe sous lequel je portait un soutien-gorge à armature couleur chair et mon collant noir.
    
    "Continuez..." dit la doctoresse en allant prendre le stéthoscope. Horriblement gênée, debout et après avoir posé ma robe sur la chaise. ...
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