Chroniques futuristes
Datte: 15/02/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
préservati,
pénétratio,
hdanus,
pastiche,
délire,
Humour
sf,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... que les conflits. Les producteurs de films X râlèrent aussi estimant que c’était une concurrence déloyale.
— Étonnant.
— Un peu, mais ils s’associèrent aux marchands d’armes pour créer des sites d’information, payants. Où toutes les pratiques possibles étaient décortiquées.
— Des sites de cul géopolitiques en quelque sorte ?
— Oui. Les bénéfices étaient préservés. De plus les scénaristes s’en donnèrent à cœur joie en réécrivant l’histoire : et si à Waterloo Napoléon, et si à Alésia… Le « combat » se déroulerait à Madrid, sous l’égide de l’ONU. Avec comme juges arbitres des membres permanents du conseil de sécurité. Russie, Chine, États-Unis d’Amérique, accompagnés de l’Espagne, pays organisateur, la Suisse, ils sont partout ceux-là, le Japon et la Norvège.
— Ça en faisait du peuple, dis donc.
— En effet, sans compter les reporters de tous poils, les chaînes d’infos, du net et de l’antique télévision qui existait encore à l’époque.
— C’était retransmis ?
— Et en direct en plus. Imagine, un événement de ce genre. Il déchaînait les foules. Des écrans géants avaient été installés dans les différentes villes. Même les lycées et les universités invitaient leurs élèves à regarder, en cours, sous la houlette de leurs professeurs d’histoire ou de géographie, cela va de soi. Quelques établissements réfractaires organisaient des veillées de prières, comme près de chez nous le lycée Sainte Frigide. Ce qui n’empêcha point nombre de leurs élèves de se munir de ...
... montres-télé-holographiques et de regarder en douce la retransmission. Ils avaient la possibilité de vivre un instant d’histoire. Ils n’allaient pas s’en priver.
— Et alors ?
— Alors ? Je vais aller boire une Guinness avant de continuer.
Chapitre 2
— Allez, papy, continue.
— Il n’y a pas meilleur qu’une bière irlandaise pour raconter cette histoire, à part un bon whisky de douze ans d’âge.
— Papy !
— Bon, bon. Si on ne peut plus boire un coup…(2)
— L’Angleterre, fidèle à son habitude fit un tour de cochon, leur délégation comprenait deux hommes et une femme. Après moult palabres, elle fut acceptée, la perfide Albion venait encore de frapper.
Elle se présentait ainsi :
Vint le grand jour.
En grande pompe les membres du jury entrèrent.
Ce n’étaient pas les ambassadeurs à l’ONU qui représentaient leurs pays, c’étaient carrément les présidents, les monarques.
Imagine-toi le président russe, la présidente américaine, la première ministre japonaise, le premier ministre chinois, le président de la confédération helvétique dont tout le monde se foutait, la reine d’Espagne, le roi de Norvège et le Secrétaire général des Nations-Unies.
Visualise une immense salle remplie de tout ce beau monde, pleine aussi de commentateurs, de caméras. Les membres des différents gouvernements belligérants, mais aussi d’autres pays, venus se rincer l’œil, sous prétexte de politique.
Au centre de la salle, une arène, je ne vois pas d’autre mot, avec des accessoires, des lits, des canapés. Et ...