1. À cette époque (1)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: dpgt38, Source: Xstory

    ... heures et demie, le jour était là, avec une mise en forme du tonnerre. J’en profitai pour tripoter les seins de mon tombeau d’amour qui, elle aussi, devait avoir bien récupéré de la veille. À mon grand étonnement, ses seins avaient diminué de moitié. Ce n’était plus Chantal dans mon lit, mais Cathy ; et, incapable de me souvenir comment avait eu lieu cet échange. Tant pis pour moi, je continuai mes investigations à la recherche d’une réaction dans le but bien sûr de remettre le couvert pour un bon petit-déjeuner. Aucune réaction, elle dormait profondément. Je l’ai tripotée un peu partout, mais rien de chez rien. Vous pouvez comprendre à quel point la nuit avait dû être très chaude ? Sur ce, tendant l’oreille, j’entendis des bruits dans la cuisine. Je décidai de me lever pour aller voir qui était là.
    
    Mon frère, en train de prendre son café, tout était prêt sur la table et nous déjeunâmes tous les deux. Nous reparlâmes de notre modification comme si rien ne s’était passé cette nuit-là. Aucune question, ni d’un côté, comme de l’autre. Entre nous, nous partagions nos femmes, mais nous gardions toujours en secret ce qui se passait chacun de notre côté.
    
    Le petit-déjeuner terminé, brin de toilette bâclé, nous repartîmes sur le bateau, afin d’entreprendre cette modification. Le tout consistait à réaligner l’arbre de l’hélice afin de permettre le déjaugeage plus rapide à grande vitesse. Mon frère et moi avions équipé ce bateau d’un moteur Renault (dauphine 5 Ch. qui développait ...
    ... une cinquantaine de chevaux) Démontage de la traversée étanche de la coque et modification du tube de l’arbre. Nos deux femmes, de leur côté, firent leur apparition assez tard dans la matinée. Elles étaient bien occupées à l’intérieur avec le ménage et le repas pour midi.
    
    L’heure du déjeuner se fit entendre, non pas par nos femmes, mais surtout par les gazouillements de nos estomacs. Abandon du chantier et direction nos femmes, ou plutôt l’apéro, ce que nous servirent nos deux belles sans la moindre hésitation. Nous déjeunions tous les quatre, dans une ambiance assez coquine, laissant passer quelques cochonneries, mais sans plus. Nous étions toujours plus préoccupés par notre bateau que par tout le reste. Nous prîmes un bon café et nous laissâmes le soin à nos deux belles de s’occuper de débarrasser la table et de faire la vaisselle. Pour nous, le bateau nous attendait, nous avions encore beaucoup de boulot.
    
    La traversée de coque démontée, nous entreprîmes de découper à la meuleuse le tube de l’arbre, afin de changer l’inclinaison. Ce ne fut pas une mince affaire, nous y avions passé pas mal de temps, il faisait chaud et nous étions déjà au beau milieu de l’après-midi. Mon frère était toujours en train de meuler. Je décidai d’aller me rafraichir et surtout de voir comment nos deux belles occupaient leur après-midi.
    
    En entrant tout doucement, intrigué par des bruits suspects, dans le salon sur une couverture à même le sol. Nos deux belles étaient là, pêle-mêle, dans ...