1. À cette époque (1)


    Datte: 19/02/2018, Catégories: Trash, Auteur: dpgt38, Source: Xstory

    Histoire vraie, vécue dans la plus humble intimité
    
    À cette époque, mon frère et ma belle-sœur habitaient un petit appartement au bord du Doubs, petit village sympa de mon enfance. C’était un rez-de-chaussée avec une petite cour intérieure dans laquelle nous avions entreposé mon bateau pour une petite modification.
    
    J’étais arrivé la veille avec ma femme Cathy. Mon frère et moi ne parlions que de la modification de la traversée de coque de mon bateau. Les femmes, Chantal et Cathy commençaient d’être agacées par notre préoccupation et trouvaient qu’on s’occupait plus du bateau que d’elles. Traversée de coque c’est bien, mais leurs deux corps n’étaient pas mal non plus et elles nous le faisaient bien ressentir. Tout compte fait, après avoir bu l’apéro, nous remîmes notre projet au lendemain pour nous consacrer uniquement aux traversées de corps de nos deux femmes.
    
    Le repas fut assez coquin, la saison s’y prêtait et nos deux femmes s’étaient retrouvées les seins à l’air et ne portaient, en tout et pour tout, que leur petite culotte. Mon frère et moi avions passé la majeure partie du repas à souiller leur corps de nourriture, que nous venions chacun notre tour nettoyer de nos langues et évidemment, notre jeu consistait à choisir les meilleurs morceaux de nos deux femmes. L’atmosphère de la pièce devint vite insupportable ; mon frère et moi étions sous une telle tension que les yeux de nos deux belles crépitèrent d’étincelles ne laissant en aucun cas trahir leurs degrés ...
    ... d’excitation. Pouvez-vous imaginer un seul moment, l’état de leurs petites culottes ? Trempées, bien sûr, remplies d’un velouté de crème à mourir de plaisir. Ce fut à cet instant que mon frère et moi décidâmes de passer à ce qui nous tenait le plus à cœur, non plus la traversée de coque du bateau, mais la traversée de corps de nos deux femmes en ébullitions, qui n’attendaient que cet instant.
    
    Mon frère et Cathy partirent dans la chambre et je me retrouvai avec Chantal dans le salon sur le canapé-lit que les femmes avaient préparé. Pouvez-vous imaginer la suite ? Je n’en suis pas certain ! Allonger sur le dos, la tête enfouie dans les gros seins de ma belle-sœur ancrée sur mon érection. Elle n’en pouvait plus, elle se donnait à fond, je ne sais plus combien de temps nous sommes restés ainsi, l’espace-temps n’existait plus. Le supplice me parut insurmontable, j’avais résisté, nous avions tous les deux essayé de tenir le plus longtemps que possible, mais notre degré de résistance dépassa toute espérance. Ce qui devait arriver arriva. L’explosion, le bigbang de nos deux corps, presque une résurrection et puis plus rien, le néant, l’inconscience. Elle s’endormit et, moi, dans une douce torpeur la tenant encore dans mes bas, j’écoutai ce qui pouvait bien se passer dans la chambre d’à côté. Ils ne dormaient pas encore. Je les entendais s’agiter, mais hélas… Après un tel traitement, je succombai dans un profond sommeil jusqu’au lendemain matin.
    
    Quand j’ouvris les yeux, vers six ...
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