Noces d'étain
Datte: 15/02/2019,
Catégories:
fh,
amour,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
couple,
Auteur: Bertrand D, Source: Revebebe
... ta part.
— Oh non, je t’en prie, ne lui dis rien.
— Sois tranquille, je tiendrais ma langue, ajouta-t-elle avec un petit sourire. Mais toi de ton côté ne dis rien à personne.
Depuis ce moment, je n’ai jamais eu l’occasion de la rencontrer seule. Ensemble, nous l’avons rarement revue. Mais je lui suis particulièrement reconnaissant de m’avoir ainsi éduqué.
Je t’en prie pardonne-moi, je lui avais promis de ne jamais en parler, mais je ne pouvais te le cacher plus longtemps, je t’aime trop.
Pauline est restée silencieuse. Jean a eu peur de l’avoir fâchée, qu’elle l’aime moins.
— Je vais te dire pourquoi je l’ai invitée, moi aussi.
Comme elle te l’avait dit, elle est arrivée avec son ami chez nos grands parents. Nous étions réunis, tous les cousins, cousines, onze en tout. De Michel l’aîné, vingt cinq ans, jusqu’à la « petite » Chloé quinze ans, qui était plus grande que moi. En plus, les copines des plus âgés, et Dave l’ami d’Hélène. Il y avait une ambiance terrible, on chahutait, on se baignait, on jouait, et puis le soir on dansait, ou on discutait.
Mes grands parents très compréhensifs, s’étaient réfugiés dans une annexe. Nous avions la maison pour nous. Les filles occupaient les chambres, les garçons avaient monté leurs tentes dans le jardin.
J’étais d’humeur plutôt maussade, tu me manquais beaucoup. Mes parents n’avaient pas voulu que je t’invite, j’étais trop jeune.
J’occupais une chambre avec Hélène. Dave, son ami couchait théoriquement ...
... dehors. Mais le soir, pendant notre petit bal ou nos discussions, ils montaient tous les deux et j’attendais leur retour pour aller dormir.
Avec ma cousine, nous couchions dans le même lit. Et, tu la connais bien, elle m’a fait parler. Trouver quelqu’un à qui je puisse raconter mes amours, c’était merveilleux pour moi. Je lui ai tout dit de nos timides caresses, et surtout la promesse que nous nous étions faîte de nous garder l’un pour l’autre.
Elle m’a expliqué que maintenant j’étais une femme. Elle se mettait nue pour s’habiller et m’a convaincue de faire de même. J’ai cédé malgré ma pudeur Après tout, c’était une femme et en plus ma cousine. Elle a comparé nos poitrines. La sienne, tu la connais, était magnifique. À côté, je faisais encore gamine.
Je lui ai avoué que tu me caressais les seins. Elle m’a demandé si je ressentais du plaisir. Je lui ai naturellement dit que oui.
— Autant que ça, m’a-t-elle dit en me les frôlant.
Je t’avoue qu’elle avait une technique diabolique et que, franchement c’était bien mieux qu’avec toi. Je n’ai pu me retenir de gémir de plaisir. Et ainsi petit à petit, elle m’a caressé tout le corps. Sa langue était merveilleuse. J’ai eu un orgasme inouï.
Le lendemain soir, j’attendais avec impatience ses caresses. Aussi dès qu’elle m’a touché, j’ai été au paradis. Elle m’a appris à lui donner du plaisir.
Ce soir-là, nous nous sommes aimées. Mais, m’a-t-elle dit après, ce n’est rien à côté du plaisir que donnent les hommes. Tu peux me ...