1. Dans les coulisses de mon petit bar de quartier


    Datte: 14/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Mature, Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... que je portais laissent entrevoir non seulement la naissance de mes seins, mais aussi parfois mes tétons lorsque je me penchais en avant pour faire le service à une table. Les clients n’en manquaient jamais une miette, et ainsi les allusions déferlaient :
    
    « Si j’étais un petit moineau, je ferais mon nid dans ton décolleté, ma mignonne. J’y pondrais mes œufs et j’y ferais ma toilette. »
    
    Ou :
    
    « Et en bas, portes-tu quelque-chose ? »
    
    Ou encore :
    
    « Dis-moi, ma belle, je ne me souviens plus où se trouvent les toilettes. Tu ne veux pas m’y accompagner ? »
    
    Je souriais la plupart du temps. J’éclatais de rire parfois. Et les clients riaient aussi, heureux qu’ils étaient de m’avoir réjouie. Puis ils m’offraient un verre et, s’il n’y avait rien à faire, je m’asseyais avec eux, en terrasse ou à l’intérieur. Ils me posaient des questions et me dévoraient des yeux.
    
    Je les aimais bien. Ils étaient taquins, mais pas méchants pour un sou. Y compris ivres, aucun n’a jamais fait preuve d’agressivité. Ils m’aimaient bien et le patron le savait. Son chiffre d’affaire a doublé cet été-là. Il me laissait fermer le bar aux heures que je voulais, notamment le soir, après les horaires habituels. Au lieu de 22h, j’ai très souvent tiré les rideaux vers minuit. Voire même plus tard, plusieurs fois.
    
    Un soir où j’étais bien ivre, je me souviens avoir soulevé ma jupe pour prouver à trois clients que je portais une culotte. Le rideau était tiré depuis un bon moment déjà.
    
    Je ...
    ... l’ai fait d’autres fois, avec des robes, des tuniques, des mini-shorts et d’autres jupes. J’ai montré ma culotte à pas mal de clients, au bout du compte. J’ai tourné sur moi-même un paquet de fois, à leur demande, afin qu’ils apprécient la forme de mes fesses. Je l’ai également fait avec des strings. Je n’en possédais pas beaucoup, mais j’en mettais parfois. Ivre, j’aimais bien me montrer de cette façon à des clients fidèles qui me payaient plein de verres.
    
    Puis j’en ai laissé certains me toucher. Leurs doigts posés sur ma culotte, délicats ou un peu appuyés. Et sur mes fesses, avec le plat de leurs mains. Entre mes fesses si j’étais bien ivre.
    
    Et sur mes tétons, bien entendu. J’ai toujours aimé qu’on me les pince un peu, voire beaucoup. Et à force, je les ai montrés à certains clients que je trouvais gentils. Après douze ou quinze kirs, une fois les rideaux tirés, je me suis retrouvée en culotte, les seins à l’air, et je me suis souvent assise sur les genoux de mes clients favoris. Ils me taquinaient et me faisaient des petits bisous, des petits câlins.
    
    Il y avait surtout Paul, Gérard et Adrien. Je montais sur leurs genoux à tour de rôle. Ils étaient tous à la retraite et vivaient seuls. Heureusement qu’ils avaient le bar pour venir tuer le temps, sinon leur vie aurait été bien triste. Ils auraient certainement passé leur temps à boire tout seuls devant des émissions à la télé. Alors que dans le bar, il y avait de la vie, de la compagnie, de la gaieté. J’aimais leur ...