1. Dans les coulisses de mon petit bar de quartier


    Datte: 14/02/2019, Catégories: Partouze / Groupe Mature, Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    Cet été-là, entre ma première et ma deuxième année à la fac, j’avais décroché un boulot de serveuse dans un petit bar de quartier, au grand bonheur des clients qui étaient à peu près tous des gars seuls qui s’ennuyaient chez eux. Certains commandaient des verres de vin blanc dès 9h du matin et ils ne repartaient que vers midi. On les voyait réapparaître en fin de journée et ils optaient pour des Ricard ou des demis. Moi, je leur servais ce qu’ils voulaient. C’était mon boulot et j’étais là pour deux mois. Je faisais tantôt les matins, tantôt les soirs. Les clients étaient tous sympathiques, même s’il était fréquent qu’ils fassent des allusions un peu crues au sujet des tenues que je portais.
    
    Il a fait très chaud cet été-là. Ce fut caniculaire, alors j’ai adapté mes tenues. J’en possédais plein de différentes qui se prêtaient à la chaleur. J’en dénichais la plupart dans une friperie située en ville. Je m’y rendais à peu près chaque semaine et j’en ramenais toujours quelque-chose : des robes, des jupes, des débardeurs, des tuniques légères… Je les payais une misère.
    
    Je ne crachais pas non plus sur l’alcool, et il n’était pas rare du tout qu’un client me paye un verre. Je n’acceptais pas à chaque fois, sinon j’aurais fini complètement ivre, mais j’acceptais souvent cependant. Le patron n’y voyait pas d’inconvénient. Et puis il y avait de nombreux moments dans la journée où il n’était pas là. Alors je rentrais souvent chez moi un peu pompette, qu’il soit 13h30 ou 22h, ...
    ... selon mes horaires.
    
    Parmi les allusions que les clients faisaient, il y en avait des délicates et des plus explicites. J’en garde certaines en mémoire. Aucune ne me choquait vraiment. Je n’ai jamais reproché leur vulgarité à des hommes qui vivaient seuls et qui venaient tuer leur ennui dans un bar. Je riais de leurs allusions et de leurs compliments la plupart du temps, même si parfois, j’avoue, il n’y avait rien de drôle. Au fil des jours, je me suis même mise à apprécier qu’on me fasse des remarques très directes, surtout après avoir bu quelques verres en compagnie d’une brochette de clients.
    
    Quand je dis quelques verres, ce n’était pas deux ou trois, c’était plutôt sept ou huit. Des kirs, en général. Cassis ou framboise. J’adorais ça et je m’en faisais offrir autant que je le voulais.
    
    Quant aux remarques que des clients me lançaient, j’en ai gardé un petit lot en mémoire. Je me souviens notamment d’un jour où je portais une tunique noire, assez courte et munie de très fines bretelles. Je ne portais pas de soutif et un homme m’a dit à un moment donné :
    
    « Ils n’ont pas chaud tes petits tétons ? Tu ne veux pas les laisser prendre l’air, cinq minutes ? »
    
    J’ai toujours eu des petits seins. Pointus et fermes, comme des cônes. Ils ont pris un tout petit peu de volume depuis cette époque, mais vraiment pas grand-chose. Mes aréoles sont restées disproportionnées, elles ont le diamètre et le volume de moitié d’abricot. Et, cet été-là, il advint maintes fois que les tenues ...
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